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L’un des principaux symptômes de la maladie d’Alzheimer, c’est une altération de la mémoire. Exerçons-la un peu, alors. Pour voir comment les maillons de la chaîne politico-sanitaire s’enchevêtrent avec les gros intérêts privés de l’industrie pharmaceutique, et ce depuis la famille de Nicolas SARKOZY jusqu’à notre firme nationale, SANOFI-AVENTIS. L’imbrication est parfois directe, parfois par maillons interposés, comme il se doit dans tout réseau.
La maladie d’Alzheimer ne semble pas avoir été choisie par hasard par Nicolas Sarkozy, mais ce n’est pas la première fois que des initiatives présidentielles confortent les intérêts économiques privés de ses proches. Les conflits d’intérêts sont juste mieux cachés dans ce cas, occultés par des envolées lyriques et la posture du volontarisme politique (voir les discours).
Nous verrons l’implication de François SARKOZY et de Guillaume SARKOZY dans des secteurs clé, en rapport avec la maladie d’Alzheimer et d’autres dispositifs sur la dépendance des aînés. Eux et leurs sociétés bénéficient directement de l’argent public, de marchés publics et des changements intervenus récemment dans ce domaine.
Nous verrons aussi comment la structure scientifique (Fondation Alzheimer) mise en place actuellement, ainsi que les dispositifs de partenariat public – privé bénéficient directement à l’industrie pharmaceutique, en particulier à Sanofi-Aventis – et à ses sous-traitants et collaborateurs, parmi lesquels François Sarkozy.
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