Etude sur les risques de Gardasil demandée d’urgence par les politiques allemands, face aux nombreuses critiques

Les voix critiques de plus en plus nombreuses, la participation active de la presse et la mise en évidence des nombreux conflits d’intérêt dans l’affaire du vaccin anti-HPV Gardasil avaient déjà divisé l’opinion allemande. La mort, révélée récemment, d’une jeune Allemande et d’une jeune Autrichienne a mis de l’huile sur le feu et poussé le parti de la chancelière Angela Merkel à réagir, par la voix de sa porte-parole en matière de santé. Ecran de fumée pour calmer les esprits ou volonté politique sérieuse ? A suivre.

Les voix critiques se multiplient en Allemagne. De plus en plus d’épidémiologistes, spécialistes en santé publique et autres médecins s’expriment dans la presse et remettent en cause la raison d’être du Gardasil et encore plus la vaccination massive. Sans parler des associations et des sites critiques des vaccins en général. Je cite là uniquement des sources médicales qui ne rejettent pas les vaccins, au contraire. Et c’est ce qui donne un poids supplémentaire à leurs inquiétudes et à leurs critiques. Par exemple l’épidémiologiste Heinz-Harald Abholz de l’Université de Düsseldorf ou Rolf Rosenbrock, qui dirige le centre de recherche „Public Health“ auprès d’un centre de recherches scientifiques berlinois. Ou encore le Pr et chercheur en pharmacologie de la prévention Gerd Glaeske de l’Université de Brême – tous reviennent dans la presse sur divers aspects contestables concernant le Gardasil et dénoncent la démarche pour le moins hâtive et irréfléchie des autorités sanitaires allemandes.

Selon Gerd Glaeske, « l’industrie pharmaceutique a fait une campagne de publicité utilisant tous les moyens imaginables pour présenter ces vaccins [Gardasil et Cervarix] comme une mesure préventive importante pour les jeunes filles ». Le journal Der Tagesspiegel cite d’autres affirmations du même spécialiste de la prévention disant que les experts ont des doutes considérables sur la sécurité des vaccins et que les firmes se sont désintéressées des risques et effets secondaires, une fois qu’elles ont obtenu l’autorisation de mise sur le marché. Sanofi Pasteur MSD et Glaxo Smith Kline font preuve de négligence sur les questions essentielles de sécurité. Glaeske a dénoncé l’attitude du Comité technique des vaccinations (STIKO : Ständige Impfkommision), qui a lui aussi une part de responsabilité dans cette négligence à prendre en compte les effets secondaires et dans l’absence de débat sur l’utilité de la vaccination.

Des réactions critiques ont été publiées aussi dans plusieurs numéros du journal officiel des médecins allemands, Deutsches Ärzteblatt.

Aux réserves et aux doutes habituels s’ajoutent désormais les interrogations sur les effets secondaires. Cet été, « Judicial Watch » (« chien de garde » américain) avait publié les informations tirés du VAERS (base de données collectant les signalements d’effets secondaires des vaccins), faisant état aussi d’effets indésirables graves, particulièrement neurologiques, de type paralysie faciale, syndrome de Guillain Barré, d’autres maladies auto-immunes et plusieurs cas de décès. (Il existe une traduction française pour ceux qui veulent lire le compte-rendu des découvertes de « Judicial Watch » dans la presse américaine). Mais tout le monde ou presque avait dit que ces effets secondaires n’étaient pas forcément liés au Gardasil, que les décès pouvaient être dus à autre chose, par exemple aux contraceptifs que prenaient deux des jeunes filles… D’autre part, le VAERS met en garde contre une interprétation trop directe, de cause à effet, des signalements qu’il collecte. Mais l’avertissement du VAERS porte sur tous les vaccins, et la plupart d’entre eux sont administrés à des bébés dont la situation est légèrement différente de celle des adolescentes.

La mort subite du nourrisson peut résulter d’un certain nombre de problèmes, mais on ne saurait guère la prendre comme justification quand des jeunes filles en parfaite santé décèdent soudainement, et que la seule chose qui pourrait être invoquée comme cause vraisemblable – ou du moins facteur de risque – est le vaccin Gardasil… Les autorités allemandes ont bien sûr invoqué l’équivalent adulte de la mort subite du nourrisson, le « Sudden Adult Death Syndrome »… Mais cela n’a pas convaincu les critiques, et particulièrement le Dr Wolfgang Becker-Brüser, directeur de la revue indépendante Arznei-Telegramm.

Dans son numéro de juin, la revue avait déconseillé le Gardasil à cause de son efficacité modeste même si l’on se fie aux données de la firme Merck (le fabricant américain). L’autre raison étant la rétention d’information dont fait preuve la firme, qui refuse de dévoiler un certain nombre de paramètres et de résultats issus des essais cliniques. Paramètres sans lesquels l’analyse scientifique est incomplète et repose en grande partie sur les dires des firmes qui produisent (Merck) ou commercialisent (Sanofi Pasteur) le Gardasil. Fidèle à sa mission d’information indépendante dans l’intérêt unique de la santé des usagers, Arznei-Telegramm a alimenté le front de la résistance au Gardasil par deux autres articles, largement repris, par des questionnements sur les conflits d’intérêt des décideurs européens et allemands qui ont imposé le Gardasil et par des déclarations dans la presse généraliste. D’autre part, la version grand-public qu’édite Arznei-Telegramm avec d’autres revues indépendantes – Gute Pillen, schlechte Pillen –, a elle aussi contribué à l’information et aidé les usagers à aller au-delà du pharmacommerce de la peur de Sanofi Pasteur MSD.

L’EMEA (agence européenne du médicament) a récemment rendu publics deux cas de décès, tout en disant qu’il était impossible de dire de quoi ces jeunes filles sont décédées… et que le vaccin gardait un rapport bénéfices – risques favorable. Selon l’EMEA, il n’y a pas lieu de changer quoi que ce soit dans les recommandations et dans les programmes de vaccination.

Une jeune fille allemande de 17 ans est décédée cet été, le lendemain de sa deuxième dose de vaccin Gardasil. Elle était en parfaite santé et avait bien toléré la première dose. Au mois d’octobre, une jeune Autrichienne de 19 ans est décédée trois semaines après la vaccination par Gardasil. Les autopsies n’ont pas pu expliquer ces morts. Elles n’ont pas non plus pu exclure le vaccin comme cause du décès.

L’Institut Paul Ehrlich (l’autorité chargée de la supervision des vaccins en Allemagne) dit avoir reçu autour de 200 signalements d’effets indésirables, dont la plupart seraient sans gravité et correspondraient à ce qu’on constate habituellement avec un
vaccin : fièvre, douleurs, rougeurs, gonflements et, plus rarement, prurit et saignement à l’endroit de l’injection, selon les propos repris par le journal allemand Der Tagesspiegel du 2 février, sous le titre « Le risque d’effets secondaires ».

Ces deux décès seraient à ranger parmi ces morts spontanées inexpliquées, mais l’Institut n’exclut pas pour autant un lien de causalité avec le vaccin contre certaines souches de papillomavirus… Les arguments de ce genre sont une façon de noyer le poisson. « Se référer au hasard statistique permet d’escamoter tout soupçon d’effet indésirable », et de se faciliter un peu trop les choses, commente le Dr Becker-Brüser. « Si des jeunes femmes en bonne santé décèdent, cela doit être pris au sérieux sans faute ». Et, contrairement à d’autres, qui ne les avaient même pas mentionnés, Arznei-Telegramm avait parlé des effets secondaires dès son numéro de juin, sans toutefois préjuger de la causalité.

Tant qu’un rapport entre les vaccinations et les décès ne peut être ni confirmé ni infirmé, la question décisive est, selon Becker-Brüser, de savoir si l’efficacité est suffisamment importante pour que le vaccin vaille la peine. Et sa conclusion en la matière est encore une fois très claire. Dans un article du journal Süddeutsche Zeitung, intitulé « Morts inexpliquées », il résume  et confirme les objections de ses collègues critiques, disant qu’on peut fort bien se passer du Gardasil. Et il ajoute quant aux effets secondaires : « Aussi longtemps qu’il y aura des nouvelles alarmantes en rapport avec le vaccin, aussi vagues soient-elles, mon évaluation du vaccin sera négative, jusqu’à preuve du contraire »

Ces deux décès et l’opinion médicale très divisée sur la question ont poussé les politiques à réagir. Après une tentative plus ancienne de l’opposition de gauche de faire intervenir le Parlement, c’est cette fois-ci la majorité qui s’exprime, par la voix de la porte-parole en matière de santé de la CDU (Union démocrate-chrétienne, en coalition avec les socio-démocrates). Le 30 janvier, Mme Widmann-Mauz a considéré qu’il était urgent de lancer une étude sur la sécurité d’emploi de Gardasil, « pour prévenir des dégâts potentiels chez des jeunes filles ou des jeunes femmes ».

Qu’il est beau le consensus français, face à une telle controverse, n’est-ce pas? Prescrire aussi se complaît dans une mollesse de jugement qui ne cadre pas avec l’idée qu’elle a de sa propre tâche.

En France, on laisse les firmes parler, elles savent ce qu’elles font et pourquoi elles le font…

Elena Pasca

Copyright Pharmacritique

5 réflexions au sujet de “Etude sur les risques de Gardasil demandée d’urgence par les politiques allemands, face aux nombreuses critiques”

  1. Excellent blog aux infos décapantes et sans aucun doute dérangeantes pour qui l’on sait.
    Si seulement les français s’occupaient de ce qui les concerne, au lieu de s’en remettre à d’autres, nous n’en serions pas là !
    Amicalement

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  2. Après avoir vécu une quarantaine d’années dans le département de la Marne (Thieblemont, Vitry-le-François, Orconte), je me suis installé à la Ciotat dans les Bouches du Rhône , depuis 1992, où j’y ai exercé mon métier de peintre-décorateur.
    En 1996, ma femme a demandé son agrément pour exercer sa profession d’assistante Maternelle. La DGAS a exigé un dossier Médical complet de toute la famille (Vaccinations, Radiologie…). Pour obtenir cet agrément, nous avons tous été dans l’obligation de nous faire vacciner contre l’ hépatite B (à l’ exception de ma plus jeune fille, née en 1991 )
    Les symptômes de ma maladie sont :
    Dès l’année suivante, j’ai commencé à ressentir des douleurs diffuses des quatre membres, profondes et permanentes, à type de brûlures musculaires; mal de tête, des sensations de décharges électriques, des douleurs articulaires et une très intense fatigue, peut aller jusqu’à l’épuisement et peut même être déjà présente au réveil. La marche est devenu très difficile, avec des symptômes associés (eux aussi invalidants): perte de la moitié du champ visuel de l’œil gauche, vertiges, dégradation de la qualité du sommeil, sensations de vertige avec perte d’équilibre, troubles de la mémoire et de la concentration. Vient ensuite la dépression, l’agressivité.
    En 1999 les médecins avaient établi un diagnostic: fibromyalgie.
    Mon médecin de famille m’avait prescrit de nombreux examens qui ne firent pas avancer le diagnostic.
    Après plusieurs hospitalisations à la polyclinique la Phocéanne (Unité de la douleur) à Marseille, le personnel médical m’avait recommandé le Professeur Pélissier, qui exerce au C.H.U. de la Timone (Marseille), pour faire une biopsie musculaire (prélèvements de fibres musculaires sur le muscle deltoïde : muscle de l’épaule).
    Le 6 juin 2002, je suis enfin diagnostiqué : j’ai une Myofasciite à Macrophages, pathologie qui fait partie des Myopathies Inflammatoires Acquises. Nouvelle maladie neuromusculaire, d’origine auto-immune, provoquée par l’hydroxyde d’aluminium. L’hydroxyde d’aluminium (qui sert a stimuler la réponse immunitaire de l’organisme) est un adjuvant qui entre dans la composition du vaccin contre l’hépatite B.
    MON COMBAT
    Je tiens à préciser que mon combat n’est pas une guerre déclarée contre les vaccins, mais il faut aujourd’hui trouver une nouvelle formule sans hydroxyde d’alumine ….
    Je lutte donc pour le remplacement de l’hydroxyde d’alumine dans les vaccins afin que certains futurs vaccinés ne contractent pas la même maladie que moi.
    Libre à eux de prendre le risque ou pas en connaissance de cause, l’important est d’être informé avant la vaccination car mieux vaut prévenir que guérir.
    On ne guérit pas de la Myofasciite à Macrophages, maladie orpheline et évolutive. (à ce jour, il n’y a aucun traitement disponible).
    Actuellement, le nombre de personnes atteintes par ce syndrome est très préoccupant: nous sommes peut-être des milliers ou plus en France à souffrir de cette maladie suite à cette vaccination.
    Avez-vous lu une seule lettre ou entendu un seul discours de Phillippe Douste-Blazy en faveurs des malades de la Myofasciite à Macrophages? Il y a pourtant bien de quoi à s’ inquiéter…
    Ce nombre sera sûrement revu à la hausse car les non diagnostiqués sont encore très nombreux !
    Il faut savoir qu’une biopsie musculaire est nécessaire pour établir le diagnostic de MFM.
    On diagnostique au minimum entre 3 et 5 myofasciites tous les dix jours sur les 4 centres de référence : Créteil, La Salpêtrière , Bordeaux et Marseille. De plus, la Myofasciite n’est pas une maladie Franco-Française, comme certains ont tenté de le faire croire : en effet, des cas sont apparus dans plus de dix pays: Allemagne, Angleterre, Belgique, Corée, Etats-Unis, Irlande, Italie, Portugal, Russie, Tunisie. Des enfants aussi sont atteints par ce syndrome (en Floride, Italie, et Israël).
    Il y a une vingtaine d’années, un adjuvant, beaucoup moins agressif que l’hydroxyde d’aluminium, a été mis au point – le phosphate de calcium – qui est peu ou pas utilisé et pourtant unanimement reconnu comme n’entraînant aucun effet secondaire. Question : Pourquoi ne pas l’utiliser?…conflits d’intérêts ?..
    Mode d’injection des vaccins : alors que les vaccins se faisaient par voie sous cutanée, une émergence importante de la Myofasciite à Macrophages à eu lieu à partir du changement du mode d’injection (le choix de la voie intramusculaire des vaccins s’est faite sur simple avis, il n’y a pas eu d’AMM – autorisation de mise sur le marché) et surtout à l’ occasion de la campagne de vaccination massive de 1993 à 1996, campagne à propos de laquelle beaucoup de questions restent posées.
    . Les informations erronées sur la maladie (hépatite B) et ses modes de contamination ont-elles été sciemment données pour effrayer la population ?
    . A-t-on transformé une campagne de santé publique en une banale opération de marketing ?
    . Un contrôle des supports de communication a-t-il été mis en place ?
    . Qu’est-ce qui a justifié le lancement d’une politique de vaccination massive qui a touché, par son ampleur et sa teneur, l’ensemble de la population, toutes classes d’âges confondues. Plus de 27 millions de personnes ont été vaccinée, alors que la France n’était pas menacée par la maladie et qu’une stratégie vaccinale plus ciblée aurait peut-être suffit ?
    . Faut-il continuer à vacciner en aveugle ou faut-il cibler la vaccination en fonction de l’individu et des risques auxquels il est confronté et éviter d’exposer des sujets sains à un danger inutile !!
    Là est toute la question…

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  3. En réponse au commentaire de Siary, posté suite à la note précédente sur le Gardasil:
    (Ces commentaires-là sont déjà fermés). Il n’y a pas de confusion entre la prévalence des sérotypes 16 et 18 et les chiffres indiquant leur implication dans les dysplasies de haut grade et les cancers.
    La prévalence faible, voir très faible est quand même une information très importante, et c’est intéressant que Riethmuller la passe sous silence… Elle veut dire que le risque que des jeunes filles soient infectées par l’un de ces sérotypes-là est bien moindre que ce que laisse entendre la pub… Pub qui ne fait pas dans le détail quand elle insinue que toutes les femmes sont à risque. Nous sommes très loin de là. D’autre part, ce qui m’intéresse, c’est la provenance des données exposées par Riethmuller et d’autres. Et les conflits d’intérêts.
    Puisque Didier Riethmuller s’affiche partout avec Sanofi Pasteur MSD, et dans des colloques ou conférences financés par ce labo.
    (Il y a une floppée de médecins français dans le même cas, et impliqués dans le Gardasil jusqu’au cou, puisqu’ils ont préparé le terrain avant qu’il arrive en France et qu’ils n’ont pas ménagé leurs efforts publicitaires depuis, quitte à désinformer et à faire des affirmations très exagérées sur la nature révolutionnaire du vaccin…)
    Je suis en train de creuser tout cela, c’est pourquoi je n’ai pas répondu de suite.
    Vos remarques rejoignent ce que disent tous les critiques sur l’importance du programme de dépistage et la nécessité de faire en sorte que les femmes pauvres soient mieux suivies. Et d’ailleurs sur tous les plans, pas seulement en gynécologie! Aspect fortement accentué par les protestataires canadiens.
    Comme vous dites, les femmes pauvres ne suivent pas le dépistage et ne peuvent pas non plus se payer le vaccin. Ce qui n’est pas loin de ma conclusion: on vend un vaccin à celles qui peuvent le payer, peu importe qu’elles n’en aient pas besoin…

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  4. « les femmes à risque pour le cancer du col sont celles qui ne sont pas dépistées »… une phrase entendue il y a quelques années dans un congrès de gynéco, mais qui résumme assez bien la situation.
    l’histoire naturelle du cancer du col permet (dans la grande majorité des cas) de dépister des lésions susceptibles de decenir des cancer et de les traiter.
    En France :
    Qui risque de ne pas être dépisté ? les femmes qui n’ont pas de mutuelle
    Qui risque de ne pas être vacciné ? les jeunes filles dont les parents n’ont pas de mutuelle.
    La seule solution serait de rembourser ce vaccin à 100% et de le donner aux pays pauvres… encore faut il qu’il soit aussi efficace et aussi sans danger que le labo le prétend.
    Merci pour ce blog (dommage qu’il soir anonyme)

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  5. Vous avez parfaitement raison, Annick, et merci de dire aussi bien ce que j’essaie d’exprimer dans toutes les notes sur Gardasil. Je ne resterai pas anonyme longtemps, mais pour le moment, il vaut mieux. En tout cas, je n’ai aucun lien financier ou autre avec l’industrie pharmaceutique et ne suis pas un professionnel de santé. Rien ne m’empêche donc de m’exprimer librement, de faire mon devoir de citoyenne et de critique de situations injustes et dangereuses.
    Annick, vous avez lu le témoignage de M. Faudier, le témoignage de Caroube et le témoignage d’autres personnes ayant subi de graves dommages de santé à cause des vaccins. Je les remercie d’avoir témoigné et leur envoie toute ma sympathie et ma solidarité.
    C’est là où mon opinion diverge, je pense, de la vôtre. Parce que le Gardasil contient de l’aluminium et que j’ai beaucoup lu là-dessus et sur la myofasciite à macrophages.
    Aussi, même si je ne suis pas contre le principe de la vaccination, je pense que les vaccins aluminés (contenant de l’aluminium comme adjuvant) devraient être bannis. Tout comme les autres vaccins contenant des métaux lourds.
    Il y a la possibilité de remplacer l’aluminium par du phosphate de calcium – je pense que c’est bien son nom, je ne suis pas spécialiste – et il faudrait le faire pour certains vaccins qui me semble effectivement utiles. C’est mon opinion, mais je pense qu’elle rencontre les principes les plus élémentaires de prudence qui doivent prévaloir en santé publique. On SAIT que l’aluminium est toxique, ne jouons pas avec le feu!
    Voilà, ça n’a rien à voir avec vous, Annick, c’est juste pour moi l’occasion à la fois de vous dire merci et de remercier toutes ces personnes qui ont témoigné et qui s’engagent pour le bien public, qui nagent à contre-courant et encaissent des coups…

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