Arrêt d’un essai clinique du Gardasil en Inde: 7 décès, 120 effets indésirables graves, conflits d’intérêts, désinformation…

Texte largement complété le 9 août au soir

Dans plusieurs articles parus dans les media indiens, on apprend que le Conseil Indien de la Brinda Karat the Hindu.jpgRecherche Médicale (ICMR : Indian Council of Medical Research) a décidé en juin 2010 d’arrêter la vaccination par le Gardasil dans les deux régions Gujarat et Andhra, dans le cadre d’un essai clinique mené depuis juillet 2009 par Merck, les autorités régionales et l’ONG PATH basée à Seattle. Le programme visait à inclure des jeunes filles des couches sociales les plus pauvres (intouchables, musulmanes, etc.) et bénéficiait pour ce faire d’un financement de la Fondation Bill et Melinda Gates.

La députée communiste Brinda Karat a exigé l’arrêt immédiat de cette recherche médicale lorsque la presse a fait état du décès de sept jeunes filles et d’au moins 120 cas d’effets indésirables sévères après la vaccination par Gardasil.

La députée a réclamé la mise en place d’une commission d’enquête indépendante afin de déterminer les responsabilités dans cet essai et de clarifier les conflits d’intérêts des puissances publiques et les conditions éthiques et scientifiques dans lesquelles se fait la recherche clinique en Inde, à travers des partenariats public-privé pour le compte de multinationales occidentales du médicament.

Brinda Karat a accusé Merck de désinformation délibérée et de publicité trompeuse sur le Gardasil.

L’affaire rebondit, et la presse indienne rend compte d’actions récentes et en cours, menées par Brinda Karat et diverses associations, qui aboutissent à une remise en question globale de la recherche clinique délocalisée en Inde et une réflexion sur les conséquences des conflits d’intérêts et des partenariats public-privé en santé. Des actions en justice sont exigées.

Crédit photo: The Hindu

Quelques sources :

 

Les grandes lignes de l’essai clinique

Ce programme de recherche allait concerner au total 32.000 filles âgées de 10 à 14 ans, dans le cadre d’une étude de deux ans visant à déterminer l’utilité de la vaccination des jeunes filles de 12 ans et des aspects pragmatiques de l’administration du Gardasil (“acceptability and service delivery issues”, selon The Hindu).

Lorsque l’essai clinique a commencé, en juillet 2009, le Gardasil avait déjà obtenu une autorisation de mise sur le marché en Inde, où il est commercialisé par MSD Pharmaceuticals Pvt Ltd (MSD, c’est Merck, Sharp & Dohme). Mais les résultats de l’essai devaient servir d’argument étayant la demande de Merck d’inclure le Gardasil dans les recommandations vaccinales nationales et de le prendre en charge dans le cadre de programmes de santé publique, et notamment le Universal Immunisation Programm. 

Quatre jeunes filles sont mortes et 120 ont subi des effets indésirables sévères, principalement de type maux de tête, épilepsie, troubles gastro-intestinaux et puberté précoce. En outre, des militantes féministes ont exprimé leurs inquiétudes sur l’impact de la vaccination et de l’étude sur la santé mentale des adolescentes.

La presse indienne a rendu compte de trois autres cas de décès ; début août 2011, le bilan était donc de 7 morts, comme on peut le lire dans The Tribune India, The Hindu, The Hindu Business Line et dans d’autres journaux.

Le programme n’a toujours pas repris, et les conséquences sont toujours d’actualité, puisque le débat fait rage à la suite du rapport de la mission d’enquête, remis aux autorités en février, mais qui n’a été rendu public que le 9 mai 2011 par des associations de défense de la santé des femmes et des organisations de la société civile. Des actions en justice sont exigées, qui auront un impact non seulement sur tout essai clinique et sur la vaccination par Gardasil, mais sur tout programme de recherche médicale menée par des firmes pharmaceutiques et des ONG étrangères en collaboration avec des institutions publiques indiennes.

Il y avait aussi un programme de vaccination par Cervarix de GSK, sans que l’on sache les détails exacts. Mais les effets secondaires et les décès n’ont concerné que des jeunes filles vaccinées par Gardasil, dans le cadre de l’essai évoqué.

 

Actions et réactions de la députée Brinda Karat

La députée communiste Brinda Karat (CPI-M: Communist Partyof India-Marxist) a pris position très tôt au parlement et dans la presse, à propos de nombreux aspects de cette étude, qui a été conçue et menée en violation des règles éthiques et de la méthodologie scientifique. Elle souligne qu’on ne peut administrer un médicament ou vaccin à des enfants sans qu’il y ait eu des essais cliniques complets, d’abord chez les adultes, y compris des essais de phase III. Or le Gardasil n’a été testé que sur un échantillon minime de 110 jeunes filles, avec un suivi d’un mois après la dernière dose de vaccin, et même ce suivi ne visait pas à établir la tolérance et le rapport bénéfices/risques, mais uniquement à déterminer la réponse immunitaire induite par le Gardasil. En outre, ce vaccin a obtenu aussi une autorisation de mise sur le marché chez des femmes adultes de plus de 26 ans, sans essai clinique dans cette tranche d’âge.

D’autre part, Brinda Karat demande pourquoi le gouvernement s’est embarqué dans une telle étude dont le protocole prévoit l’administration de trois doses de Gardasil, alors qu’il avait annoncé la mise en place d’une étude multicentrique à très grande échelle visant à déterminer si deux doses de vaccin suffisent.

 

Merck et ses satellites : Publicité mensongère et désinformation délibérée sur le Gardasil

La désinformation semble être une constante autour du Gardasil, tout comme les conflits d’intérêts. Je rappelle au passage la mise en garde de la revue allemande indépendante Arznei-Telegramm sur la désinformation mise en place par Sanofi Pasteur MSD (holding de Merck et de Sanofi Pasteur, à 50-50). D’autres références à la désinformation sur ce vaccin comme sur le cancer du col de l’utérus sont contenues dans la soixantaine d’articles publiés sur Pharmacritique sur le Gardasil et le Cervarix (accessible à partir de la liste alphabétique des catégories à gauche de la page). Sans oublier les articles portant directement sur les conflits d’intérêts autour de ces deux vaccins, que l’on peut lire à partir de cette page.

L’article de The Hindu du 7 avril 2010 permet de comprendre la portée des analyses critiques et des exigences de la députée Brinda Karat lors d’une conférence de presse en présence d’associations, de scientifiques et de militants. A noter que les orateurs ont fait une erreur – ou alors le journaliste qui rend compte -, puisque seuls 15 ou 16 génotypes de papillomavirus humains sont oncogènes, sur les à peu près 120 connus. Il n’empêche que la critique reste valable : à l’heure actuelle du moins, on ne peut pas présenter le Gardasil (ni le Cervarix) comme un vaccin contre le cancer du col de l’utérus.

D’autre part, on apprend que l’information donnée par Merck aux familles des jeunes filles est trompeuse – et/ou prend ses désirs pour des réalités -, puisque la firme pharmaceutique a affirmé que le Gardasil immuniserait à vie, n’aurait que des effets indésirables mineurs tels que fièvre et rash (éruption cutanée) et n’aurait aucun impact sur la fertilité des adolescentes. (Aucune étude n’a été menée sur ces questions ; il faudrait d’ailleurs des études très longues, au moins comme celle prévue en Finlande sur 15 ans). 

Merck s’est servi de la participation d’institutions publiques à ce programme et a laissé entendre que la vaccination par Gardasil serait une mesure de santé publique – et non pas une expérimentation dans le cadre d’un programme de recherche. Cela est encore plus facile dans des pays pauvres et avec des populations pauvres, analphabètes ou illettrées. Un article de The Tribune mentionne par ailleurs que, pour un certain nombre de cas, ce ne sont pas les jeunes filles vaccinées qui ont signé le formulaire de consentement, mais les enseignants ou les gérants des endroits où elles étaient hébergées…

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 “At a press conference here — along with representatives of the All-India Democratic Women’s Association (AIDWA), Saheli, Sama, All-India People’s Science Network, and the Jan Swasthya Abhiyan — Ms. Karat accused the pharmaceutical company of misleadingly promoting the vaccine as preventive for cervical cancer as it prevented the cancer of only two strains of hundreds that caused cervical cancer.

The literature circulated in the project makes outright false statements about its safety, efficacy and duration of effectiveness. (…)

Drawing attention to the gross violation of informed consent of the “subjects” being used for the trials, Ms. Karat sought to know how the Drugs Controller-General of India granted approval to the vaccine without proper research in India.

She said:

“The process of licensing the vaccine in India raises many serious questions, as time and again scientific logic and the ethical guidelines have been violated at each step.

“Our law clearly states that (…) the vulnerable sections of society cannot be used for human trials.

“In this case, the children from the Scheduled Castes, the Scheduled Tribes and the Muslim communities, who are economically poor, were used for experimenting. A number of children were from families displaced from Chhattisgarh, who could not even understand Telugu.”

Ms. Karat demanded that each vaccinated girl be examined by an independent authority to assess the range and incidence of side-effects, and sought an enquiry into the use of the National Rural Health Mission (NHRM) logo on the vaccination card given to the girls, which was titled ‘HPV Immunisation Card.’

“The vaccination is not part of the universal immunisation programme of the country,” she said, adding that while PATH claimed it was a promotional programme for the vaccine in India, the ICMR had clarified that it was, indeed, a clinical trial.

She had written two letters to the Health and Family Welfare Minister and was awaiting a response.

After visiting some of the areas where the vaccine was administered, Ms. Karat had said the people were given to understand that it was an expensive vaccine and that they would not be able to afford it once the company’s project was over, hence they should get their daughters vaccinated. Since the NRHM logo was on the card, the villagers went for the injection.

 

Des « défaillances mineures » entraînant des morts « inexpliquées » dans une population très vulnérable

Quant aux décès, le rapport de la mission d’enquête dit que la cause n’a pas pu être établie, mais qu’ils ne sont probablement pas dus au Gardasil. Quant à la violation des normes éthiques, le rapport note « plusieurs défaillances mineures dans la planification et le déroulement de l’étude ». Mineures? Il n’y avait aucun dispositif digne de ce nom permettant le signalement et la collecte des informations sur les effets indésirables du Gardasil. Et les jeunes filles n’avaient aucune assurance-maladie, aucune garantie de prise en charge en cas de réactions adverses au vaccin. De plus, 22% des jeunes filles vaccinées faisaient partie de populations tribales dont la loi indienne prévoit explicitement qu’elles ne peuvent participer à des essais cliniques que lorsque les produits testés sont susceptibles d’apporter un bénéfice spécifique pour les problèmes de santé de cette ethnie.

Un journaliste prend acte de tout cela et s’indigne dans un article au titre suggestif, « A pill too bitter to swallow » (Une pilule trop amère pour l’avaler), paru le 12 juin dans le journal The Hindu, dans lequel il épingle l’utilisation des populations rurales et tribales les plus pauvres et les plus marginalisées comme des cobayes humains: 

« However, it is these so-called “minor deficiencies” that can sometimes make the difference between life and death for people who are already vulnerable. In the case of these tribal girls in Khammam district in Andhra Pradesh and Vadodra district in Gujarat, the deficiencies included the absence of “informed consent” (the consent forms were signed by hostel wardens instead of the parents of the girls being informed and their consent sought). Furthermore, a proper procedure to monitor the health of these girls for adverse effects was not in place. This is particularly important as most of these girls were already undernourished. The committee’s report notes that there was no uniform reporting system for Adverse Events Following Immunisation (AEFI), which included nausea, vomiting, diarrhoea and abdominal pain as well as giddiness, jerky movement and neurogenic shock. Worse still, the girls had no health insurance cover for treatment in case they fell ill on being vaccinated. »

 

Conflits d’intérêts, fraude, partenariats public-privé douteux, violation des réglementations…

L’article du 9 mai 2011 de The Tribune, « Brinda demands action on HPV vaccine probe report »,  rend compte d’une lettre ouverte adressée par la députée Brinda Karat au ministre de la Santé Ghulam Nabi Azad. Prenant acte des conclusions du rapport de la mission d’enquête sur l’essai clinique sur le Gardasil, dont elle avait elle-même demandée la mise en place, la députée demande des actions en justice contre les responsables des institutions publiques impliquées dans l’essai clinique sur le Gardasil, et notamment l’ICMR (Indian Council for Medical Research) et l’agence du médicament DGCI (Drug Controller General of India).

Manquement au devoir, fraude, conflits d’intérêts, non respect des lois et des réglementations sur la recherche clinique – tout cela est avancé par Brinda Karat, preuves à l’appui. Lorsqu’elles ont autorisé l’ONG états-unienne PATH à mener cet essai clinique, ces deux institutions auraient dû s’assurer que l’ONG et Merck respectent les règles éthiques, les protocoles et autres exigences, par exemple sur le consentement éclairé des participants. En particulier le représentant de l’ICMR n’a pas suivi les observations faites par l’agence du médicament DGCI, demandant le respect des protocoles de recherche, mais a au contraire pris fait et cause pour PATH et a aidé cette organisation à contourner les réglementations en vigueur.

«Ethics of the ICMR are under question. Equally strange is the fact that the ICMR representative who was part of the PATH project was picked to assist the government panel probing the vaccine issue. Since ICMR was a partner in the project, its role as advisor is suspect. We demand action against the ICMR people who partnered with PATH in disregarding protocols and against the DCGI for allowing such a project to run at all,” Brinda demanded, along with public health group Jan Swasthya Abhiyan, as they questioned the committee’s “soft recommendations” despite proof that the ICMR and PATH misled authorities. »

Cités dans un article daté du 11 mai 2011 de The Hindu Business Line, Brinda Karat et les représentants des organisations qui la soutiennent affirment :

« « the procedures followed by the Drugs Controller General of India (DCGI) for approving licences for import and sale of the products by the companies concerned were in violation of Schedule Y of the Drugs and Cosmetics Act. (…)

The final report [celui de la mission d’enquête, rendu public le 9 mai 2011] clearly raises questions about ‘whether the entire project was designed to promote the interests of companies’, the organisers said. (…) They also questioned the role of ICMR in signing a memorandum of understanding in 2007 committing its support to ‘the use of HPV vaccine” even before it was licensed for sale in India.

The organisations said the credibility of the Universal Immunisation Programme and National Rural Health Mission (NHRM) had been damaged by the ‘wrongful use’ of NHRM’s logo for a project implemented by a private agency and its identification with the Government’s immunisation programme. »

L’article du 11 mai 2011 de The Hindu, « HPV vaccine issue: Brinda Karat questions role of ICMR », apporte d’autres précisions. La députée insiste pour que soient punis les responsables de l’ICMR qui ont agi de façon partiale, prenant parti pour l’ONG PATH et servant les intérêts des compagnies pharmaceutiques fabricant les vaccins, au lieu de veiller à remplir correctement leur mission de service public, consistant entre autres à maintenir et à traduire en pratique les règles éthiques qui encadrent la recherche médicale. Or il y a eu des violations répétées de cette éthique, et il convient d’en tirer toutes les conséquences, notamment pour ce qui est des risques induits par la participation d’institutions publiques à des partenariats public-privé sur des questions de santé et de recherche, participation qui est en elle-même source de conflits d’intérêts.

 

Les fillettes indiennes, cobayes humains pour le profit de l’industrie pharmaceutique 

Des laboratoires pharmaceutiques orientés par la recherche de profit cherchent à conquérir l’immense marché qu’est l’Inde et à pousser à la vente de leurs vaccins en se servant de tels partenariats public-privé et en créant des conflits d’intérêts. Pas question de les laisser faire, pas question d’instrumentaliser le système afin d’obtenir l’inclusion de leurs produits dans les programmes nationaux de vaccination, tonne Brinda Karat. Ce n’est pas la recherche de profit qui sera le moteur de la recherche médicale en Inde, et elle ne se fera pas sur le dos des enfants les plus pauvres, dont les droits sont violés. Ce genre de projet, présenté comme exemplaire et censé inaugurer toute une série, doit être le dernier, ajoute-t-elle.

Lors d’un séminaire organisé en juin 2011 par l’organisation AIDWA (All-India Democratic Women’s Association) sous le titre « Vaccin contre le cancer du col de l’utérus – conséquences », Brinda Karat a réaffirmé son opposition à ce que deux compagnies pharmaceutiques multinationales (Merck et GSK) se servent des pauvres comme des cobayes lors d’essais cliniques sur leurs vaccins dont l’utilité et l’efficacité n’a pas été démontrée, et tout cela au nom d’une « démonstration » (demonstration project) (voir cet article de The Hindu), d’une opération de marketing pour le Gardasil. 

A noter que l’ONG PATH s’est exprimée dans un communiqué de presse en date du 11 mai 2011: « Statement from PATH: HPV demonstration project in India« . Selon l’organisation, il n’y a pas eu de violations majeures des réglementations dans l’essai clinique, qui avait obtenu l’aval des instances éthiques telles que le Institutional Ethics Committee for Human Research. PATH affirme qu’aucun décès n’a pu être imputé au Gardasil, nulle part dans le monde, et que si la tolérance, l’efficacité et le profil bénéfices/risques n’étaient pas les objectifs poursuivis dans l’essai, c’est parce que tout cela avait déjà été établi lors d’autres essais cliniques sur lesquels s’est fondée l’autorisation de mise sur le marché.

*

Je reviendrai sur les problèmes que posent les essais cliniques en Inde – représentative des pays pauvres et en développement – et sur le nombre effarant de morts lors de ces études. Des morts et des victimes d’effets indésirables dans un climat d’impunité totale pour l’industrie pharmaceutique, qui délocalise la recherche clinique pour la mener sans les tracas des règles d’éthique plus strictes dans les pays occidentaux et en épargnant jusqu’à 80% des coûts. Cette même industrie qui en tient pas compte des économies ainsi réalisés lorsqu’elle diffuse ses discours marketing sur le prix de la recherche développement qui augmenterait par jour qui passe et justifierait des prix très élevés des médicaments dans les pays occidentaux, de même que l’insistance sur les brevets et la propriété intellectuelle.

Sur les estimations réalistes du coût de la recherche développement d’un médicament, vous pouvez lire l’excellente analyse de la revue Arznei-Telegramm, traduite sur cette page. Sur les partenariats public-privé et la question de la propriété intellectuelle, j’ai donné l’exemple d’Innovative Medicines Initiative, l’exemple des « partenariats » conclus dans le cadre du plan Alzheimer (avec un réseau de conflits d’intérêts incluant les frères Sarkozy et Sanofi, voir l’enquête) et quelques autres mentionnés dans les notes de la catégorie « Université SARL ».

Elena Pasca

Copyright Pharmacritique

PS: Cette note est (elle aussi) faite spontanément et à la va-vite, faute de temps pour tout traduire, revoir et travailler la forme et le style, etc. J’ai voulu laisser tomber le sujet Gardasil, trop écoeurée par ce que je découvrais au fur et à mesure, mais l’actualité impose les sujets, dans une certaine mesure…

18 réflexions au sujet de “Arrêt d’un essai clinique du Gardasil en Inde: 7 décès, 120 effets indésirables graves, conflits d’intérêts, désinformation…”

  1. Bonsoir ELENA merci pour ces précieuses informations, cela était prévisible. Quand je pense à la publicité elle en disait déjà long sur la malhonnêteté de MERCK
    INTERESSANT

    Cordialement
    Martine

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  2. Je suis aussi révolté que vous , Mesdames Audrey et Martine ,et je ne suis qu’un homme . Pourtant, si nos politiques faisaient leur travail ,mais vraiment leur travail ,nous pourrions nous regarder dans les yeux , souriants …. Si la justice existe ,elle doit condamner les laboratoires en faute ,et lourdement ! Merci a Eléna ,et tous mes respects a vous ,Mesdames . Salutations .

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  3. Rien que pour la journée du 8 août, nous avons eu vent du cas de deux jeunes filles dont la santé s’est dégradée après vaccination par Gardasil…
    Le premier cas, relaté par un personnel d’un laboratoire d’analyses médicales, concerne une jeune fille dont les règles sont devenues épouvantablement douloureuses depuis sa vaccination par Gardasil (or ce vaccin induit des inflammations du pelvis). Il n’est guère difficile de se rendre compte et ce, depuis plusieurs années, que le Gardasil a un effet sur les règles et le cycle menstruel (pourtant toujours pas mentionné dans la notice!)
    En général, les règles deviennent beaucoup plus douloureuses ou s’amoindrissent pour parfois disparaître. Ca, c’est ce qu’il y a de + fréquent avec les règles mais parfois les règles peuvent devenir hémorragiques à l’inverse.
    Le second cas nous a été rapporté par une maman. Depuis la vaccination par Gardasil, la fille souffre d’une thyroïdite de Hashimoto (auto-immunité donc) mais cette hypothyroïdie ne s’est pas manifestée immédiatement, en quelques jours, après la vaccination! Ceci rejoint donc tout à fait ce qui a été écrit plus haut dans cet article sur l’évaluation ridiculement courte des jeunes filles suivies seulement un mois après leur dernière dose!!!! D’ailleurs, cette maman qui nous a communiqué ce cas avait aussi conscience que si elle avait réussi à faire le lien grâce à une connaissance qui « lui a mis la puce à l’oreille », la majorité des victimes de cette vaccination ne feront jamais le lien et qu’elle était donc la partie tout à fait EMergée de l’iceberg!!

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  4. Je sens la colère monter, je suis révoltée et, si triste en même temps pour toutes ces jeunes-filles dont on détruit la vie, pour le profit, et pour le PIB, ne l’oublions pas.

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  5. Bonjour et merci pour ces commentaires.
    Docteur Vincent, pourquoi ça marche si bien, à votre avis? Quels sont, en pratique, les « arguments » du discours pharmaceutique sur le Gardasil et le Cervarix qui font tilt?
    J’ai tenté de décortiquer cela en théorie (mot « cancer » et stratégie du pharmacommerce de la peur, chiffres manipulés sur le taux de cancers du col de l’utérus, données fortement exagérées sur l’efficacité contre les dysplasies de moyen et de haut grade induites par les HPV 16 et 18, etc.), mais ça, c’est la théorie. Que disent les patientes?
    C’est important de le savoir pour mieux adapter la réponse.
    Même question posée à tous les lecteurs, bien sûr.
    Jcé, hommes ou femmes, nous sommes tous dans la même galère, de ce point de vue et au sens propre comme au sens figuré, alors…
    Cordialement

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  6. Bonjour ELENA
    Faire PEUR c’est PORTEUR
    La pub laisse croire que tous les HPV 16 et 18 dégénèrent en cancers
    J’avais envoyé un email au BVP pour dire que la publicité sur le GARDASIL était mensongère. Elle dit que ce vaccin permet d’éviter 70 pour cent des cancers du col de l’utérus
    Donc un vaccin 100 pour 100 efficace !!!!!! puisque efficace sur 70 pour 100 des HPV 16 et 18

    Pour le moment nous ne savons même pas si il est efficace pas assez de recul
    La plupart du temps, ces virus, qui peuvent être contractés dès l’adolescence, sont éliminés naturellement par l’organisme.
    J’avais conseillé aux lecteurs de RUE89 qui souhaitaient faire vacciner leurs filles de copier cette publicité et de la ressortir en cas de problème
    La pub dit également :
    Protéger sa fille, se préoccuper de son avenir …………
    Donc culpabiliser les mauvaises mères c’est à dire celles qui ne souhaitent pas faire vacciner leurs filles et ne préoccupent donc pas de leur avenir
    Je pense que XAVIER BERTRAND qui a accéléré le remboursement du vaccin aura des comptes à rendre dans peu de temps
    Dès le départ j’avais prévenu mon médecin sur les dangers…… elle a donc informé et ensuite chacun fait ses propres choix . ELLES NE POURRONT PAS DIRE QU ELLES NE SAVAIENT PAS
    Cordialement
    Martine

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  7. La pub dit également :
    Protéger sa fille, se préoccuper de son avenir …………
    Donc culpabiliser les mauvaises mères c’est à dire celles qui ne souhaitent pas faire vacciner leurs filles et ne préoccupent donc pas de leur avenir
    A mon avis la clef est là : la culpabilisation irrationnelle et à outrance est le ressort principal sur lequel jouent les labos et les médecins qui sont leur bras armés.
    En tant que maman de jeunes enfants, c’est à ce discours que je suis perpétuellement confrontée.
    Une bonne mère est une mère qui vaccine contre TOUT et ne pose pas de
    questions. Une mère qui vaccine est une mère qui veut le meilleur pour son enfant.
    Le discours est bien rôdé et tourne toujours autour du fait d’assumer les conséquences potentiellement gravissimes du choix de la non vaccination : « Quand votre enfant sera en réanimation, vous n’aurez plus que vos yeux pour pleurer… », ce n’est jamais nuançé et toujours extrêmement violent et donc redoutablement efficace.
    Je suis un cas atypique car chez moi la culpabilisation s’exerce à rebours dans la mesure où j’ai vécu une expérience horrible après les permières vaccinations pédiatriques de mon fils aîné.
    Six ans après, je ne peux que constater que ma confiance et ma naïveté ont contribué à lui « déglinguer » à vie le système immunitaire .
    Je culpabilise d’avoir donné ma bénédiction à l’injection de TOUS les vaccins en même temps.
    Mais je reconnais que je suis un cas isolé.

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  8. Plus précisément
    La pub dit:
    Le vaccin GARDASIL peut prévenir 70 pour cent des cancers du col de l’utérus
    sachant que les HPV 16 et 18 représentent 70 pour cent des cancers du col de l’utérus c’est donc un vaccin efficace à 100 pour 100 si cela n’est pas une publicité mensongère !!!!!!!!!
    Donc une femme qui aurait été vaccinée et aurait malheureusement un cancer du au HPV 16 OU 18 pourrait sans problème demander une forte indemnisation à SANOFI pour tromperie aggravée VIDEO A CONSERVER

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  9. à Audrey,
    Non, vous n’ êtes pas un cas isolé; nous sommes nombreux à déplorer les effets de la vaccination sur nous mêmes ou nos enfants
    Des millions de parents sont victimes de la vaccination au travers de leur expérience personnelle et de leur expérience parentale !
    La vaccination contre contre l’ HPV est totalement liée à des intérêts commerciaux et l’ inefficacité ne sera pas démontré avant 20 ans. Les effets secondaires sont énormes mais nos autorités médicales sont complices de ce génocide
    Par ailleurs , dans le même registre,
    les travaux de Wakefield sont là pour rappeler que l’ autisme est bien le fait de la vaccination et le mercure ou autres aluminium n’ expliquent pas à eux seuls l’ hecatombe sanitaire lié à la vaccination ROR….
    Pourquoi retrouve t ‘ on du matériel viral vaccinal de la rougeole dans les intestins de 85% des enfants autistes ?

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  10. A Inki
    Bonjour,
    Vous avez le droit de penser ce que vous voulez des vaccins.
    Cela dit, Pharmacritique ne me semble pas l’endroit approprié pour poster de telles opinions extrêmes, ni sur les vaccins, ni sur des médicaments ou la médecine en général. Je suis en total désaccord – et cela a été dit de nombreuses fois – avec de telles opinions sur les vaccins comme instrument de « génocide », « crimes contre l’humanité », etc. Comme avec toute thèse complotiste, irrationnelle ou autre qui mettrait tous les vaccins dans le même sac et les rejetterait tous en bloc.
    Pour ma part – et donc pour Pharmacritique:
    je suis clairement FAVORABLE AU PRINCIPE DE LA VACCINATION, tout en critiquant, au cas par cas, les mauvaises applications, c’est-à-dire des vaccins qui posent problème, sont inutiles, etc.
    C’est au nom de ce principe, rationnel et raisonnable pour la santé publique, et pour qu’il ne soit pas rejeté un jour parce qu’il a été mal traduit en pratique dans tel ou tel cas, c’est au nom de cela qu’il faut mener la critique, de façon rationnelle, avec des arguments rationnels et basés sur des données scientifiques, tant que faire se peut.
    Je ne pense pas qu’on puisse parler de façon rationnelle et argumentée de dégâts et effets de LA vaccination, prise comme un tout. Effets de tel ou tel vaccin, oui, à discuter. Mais là aussi, encore faut-il que cela n’en reste pas à des anathèmes en bloc, ni à des opinions et expériences singulières, qui ne sont pas de la science et ne peuvent pas être généralisées.
    « Millions de parents » ?! « Hécatombe sanitaire » ?!
    Où est-elle, l’apocalypse tellement annoncée ? Question déjà posée dans des textes cités plus bas.
    Je désapprouve aussi cette façon d’utiliser les chiffres, puisque cela participe de la DESINFORMATION: vous parlez de « matériel viral vaccinal de la rougeole dans les intestins de 85% des enfants autistes » et donnez « les travaux » (au pluriel) d’Andrew WAKEFIELD comme exemple.
    Ce qui revient à dire qu’il s’agit de 85% des… 12 enfants inclus dans l’étude d’Andrew Wakefield. Ca change la donne, et les conclusions qu’on peut en tirer… Aucune.
    Le Dr Andrew Wakefield a été suspendu par l’ordre des médecins pour FRAUDE. Cette étude a été retirée par le Lancet et a fait l’objet d’enquêtes détaillées, aussi par des journalistes indépendants, qui ont toutes abouti au même résultat: il s’agit de données inventés, d’une fraude et d’une MANIPULATION. Les rumeurs sur internet (réseaux communautaires, forums…) ont fait le reste.
    Andrew Wakefield est coupable de bien plus que de fraude, comme je l’ai déjà dit. Il est coupable d’avoir donné de faux espoirs aux parents d’enfants autistes, qui ont cru en lui et ont espéré que la cause du mal de leurs enfants était enfin trouvé, qu’ils tenaient un responsable (le vaccin ROR et l’industrie pharmaceutique).
    Le besoin de trouver un coupable était d’autant plus fort qu’ils ont été culpabilisés par une psychanalyse déformée et détournée de ses usages légitimes et utilisée de façon irresponsable (et ce n’est malheureusement pas la seule fois).
    J’ai abordé ces questions dans deux articles en particulier, dans lesquels je revoie dos à dos le scientisme et l’irrationalisme, ce dernier à travers l’exemple des courants antivaccin qui les rejettent tous en bloc:
    – « Grippe A H1N1: valse des morts pour attiser les peurs. Dialectique des contraires entre l’apocalypse des scientistes et l’hécatombe des antivaccinalistes »
    http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2009/12/07/grippe-a-h1n1-valse-des-morts-pour-attiser-les-peurs-dialect.html
    – « Antivaccin et scientistes prédisant l’apocalypse par les vaccins ou par la grippe A: autocritique ou rationalisations un an après? »
    http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2011/02/11/antivaccinalistes-et-scientistes-predisant-l-apocalypse-par.html
    Voici juste un extrait de l’argumentation:
    « Prenez des parents désespérés à la recherche – l’esprit humain est ainsi fait – d’une explication simple et unitaire de la maladie de leurs enfants. Mettez-le dans le contexte d’une médecine qui n’a pas su s’en occuper, d’une société qui les a laissé pour compte, d’une vulgate psychologisante issue de la psychanalyse qui les a culpabilisé en insinuant que c’était de leur faute.
    Ajoutez à cela les méthodes fort bien rodées de persuasion et de pseudo-explication, consistant à lister des éléments de vérité sans rapport entre eux comme s’ils formaient une chaîne causale, confondre corrélation et cause, etc.
    Ajoutez une représentation de justice à obtenir, d’injustice à réparer, de nouvelles victimes à éviter. Pimentez avec une pincée de médecins qui seraient de leur côté mais que l’ordre des médecins et les laboratoires persécuteraient et empêcheraient de se prononcer, de travailler, etc.
    Tout cela sur le fond d’une éducation inexistante à la santé et d’une dégradation croissante de l’image de la science et de la médecine (conflits d’intérêts, scandales sanitaires…).
    Ajoutez des moyens de communication de type forums sur lesquels toutes les opinions se valent – c’en est même le principe -, et sur lesquels toute opinion vaut avis éclairé, scientifiquement fondé, du fait de quelques liens menant vers des informations que trop peu de personnes ont les moyens d’évaluer. Voilà quelques ingrédients permettant à des sauveurs et à des gourous de tout poil d’exploiter la souffrance. »
    Etc. Le mieux, c’est de lire le texte en entier.
    Je ne souhaite pas revenir à des discussions interminables, où j’aurais de nouveau à réagir à des qualificatifs extrêmes (« hécatombe », « génocide », etc.) et à des hypothèses extrêmes. Pharmacritique – qui n’est par ailleurs pas un forum, ni une revue de presse, ni un répertoire de liens vers des sites extrêmes -, n’est pas fait pour cela. Si vous souhaitez poster, je vous serais gré de tenir compte de ces aspects.
    Bien à vous,
    Elena Pasca / Pharmacritique

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  11. Je suis tout à fait d’accord avec vous Elena.
    Je suis également favorable au principe même de la vaccination.
    Je m’apprête d’ailleurs à faire vacciner mon deuxième enfant mais à un âge bien plus avançé que son frère aîné et je fais désormais, comme je peux, le tri dans ce que j’autorise.
    Personnellement ce que je déplore c’est :
    1/ L’absence d’individualisation du geste vaccinal dans une médecine de masse qui ne peut pas se le permettre. On nous propose la roulette russe.
    2/ Le déficit de confiance qu’on ne peut malheureusement qu’éprouver devant un système de pharmacovigilance totalement perverti. Je ne me sens désormais plus sereine et confiante vis à vis des produits pharmaceutiques d’une manière générale. Sans tomber dans une paranoïa pathologique, avant de prendre une décision j’essaie de m’ abreuver à plusieurs sources.
    Je déplore l’intervention extrêmiste à laquelle mon commentaire a donné lieu. En ce qui me concerne ce n’est ni mon propos ni mon combat.
    Je regrette d’ailleurs que ce genre de prise de position extrêmiste desserve la cause qui est la mienne depuis six ans.

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  12. Bonjour Audrey,
    Vous n’y êtes pour rien.
    Entièrement d’accord avec vous sur les points évoqués.
    En plus de l’individualisation – qui permettrait de juger au cas par cas du rapport bénéfices/risques – il faudrait qu’il y ait des vaccins uniques, et non pas plusieurs à la fois, ce qui empêche d’en choisir un seul parmi tous ceux qui sont dans le pack, par exemple.
    Je ne sais pas quoi croire et n’ai donc pas d’avis arrêté sur la MYOFASCIITE A MACROPHAGES, imputée au vaccin contre l’hépatite B, et notamment à l’hydroxyde d’aluminium qui y est contenu comme adjuvant. J’ai lu des choses contraires, voire contradictoires.
    De toutes façons, même l’équipe de Henri Mondor (Romain Gherardi et François-Jérôme Authier) dit qu’il faut une PREDISPOSITION GENETIQUE pour que l’aluminium provoque autre chose qu’une simple inflammation locale sans traduction clinique (et sans symptômes systémiques). L’individualisation de la vaccination permettrait de dépister une telle prédisposition, par exemple. Même pas besoin d’un typage HLA systématique; déjà un questionnement ciblé permet de savoir s’il y a des maladies auto-immunes, inflammatoires, etc. dans la famille, auquel cas la prudence devrait être de mise.
    Et puisqu’un tel soupçon pèse sur l’hydroxyde d’aluminium, il me semble qu’il serait tellement plus simple de le remplacer par des PHOSPHATES DE CALCIUM, sans aucun danger, qui étaient utilisés comme adjuvant avant que Mérieux rachète Pasteur. Ce serait plus cher et l’immunité serait de plus courte durée, il faudrait donc des rappels. Mais même sur le plan des profits, puisqu’il y aurait des rappels plus fréquents, Sanofi-Pasteur et les autres ne perdraient rien, en fin de compte.
    Vous avez raison de vous informer, Audrey, et de prendre vos décisions en connaissance de cause. Bravo!
    Cordialement,
    Elena Pasca
    PS: je redonne les liens, qui ne s’ouvrent pas dans mon commentaire précédent:
    http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2009/12/07/grippe-a-h1n1-valse-des-morts-pour-attiser-les-peurs-dialect.html
    http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2011/02/11/antivaccinalistes-et-scientistes-predisant-l-apocalypse-par.html

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  13. Ma fille de 16 ans Oceane Bourguignon suite à cette vacination a passe plus de 5 mois en fauteuil roulant et a subi 5 attaques en mois de 2 mois suite à encephalite aigue
    bravo Gardasil un bel avenir pour nos ados

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  14. Bonjour Madame ou Monsieur Bourguignon,
    Je suis désolée pour toute cette souffrance.
    Merci d’avoir posté ce témoignage; il y en a d’autres, à la suite des divers articles sur le Gardasil, et ils seront très utiles à d’autres parents qui envisageraient cette vaccination.
    Avez-vous pris contact avec une association de victimes de médicaments? je ne sais pas s’il y en a une spécifique au Gardasil, mais la presse a parlé de l’action en justice de deux jeunes filles. J’en ai rendu compte ici:
    http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2011/07/12/gardasil-deux-victimes-demandent-reconnaissance-des-effets-i.html
    Le nom de Maître Charles Joseph-Oudin a été cité comme avocat d’au moins l’une des deux victimes, disant que d’autres demandes d’indemnisation (comme façon de reconnaître les effets indésirables du Gardasil) devaient suivre.
    Il y a aussi le CADUS qui s’occupe du suivi juridique dans des cas de ce type (victimes de médicaments ou vaccins, erreurs médicales…).
    « Conseil Défense des Usagers de la Santé »
    http://www.cadus.fr/
    J’espère que votre fille s’en remettra complètement et vous transmets toute ma sympathie. Merci de nous tenir informés (mais vous n’avez pas besoin de donner le nom, un pseudonyme ou un prénom suffit. Si vous souhaitez que j’efface le nom, merci de me le dire à
    pharmacritique@voila.fr
    Bon courage et tenez bon!
    Bien cordialement,
    Elena Pasca / Pharmacritique

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  15. bonjour , je suis secrétaire médicale et maman d’une petite fille de six ans; en effet entre la culpabilité et les dires des médecins on ne sais plus quoi penser mais je suis quand même en manque d’arguments pour ou contre les divers vaccinations entre les extrémistes des deux camps . Peut être pouvez vous m’aider un peu (merci pour vos articles fort interessants )(vaccination surtout actuellement pour la rougeole)

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    1. …Oui, peut êtr la lecture de ce livre intéressant : « Les vaccinations n’ont pas fait régresser les épidémies ‘, La rancon des vaccinations ,Simone Delarue. Bon courage

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