Eli Lilly : désinformation délibérée sur les effets indésirables du Zyprexa. Un visiteur médical parle

C’est le témoignage de Shahram Ahari, un ancien visiteur médical d’Eli Lilly, dont je donne les grandes lignes, suivies d’autres informations. Ahari a surtout fait la promotion de l’antipsychotique ZYPREXA° (olanzapine), utilisé principalement dans le traitement de la schizophrénie et des troubles bipolaires. Il raconte les « combines » pour influencer les médecins et témoigne du cynisme absolu d’Eli Lilly.

Ce laboratoire pharmaceutique a très bien promu le Zyprexa et fait beaucoup de profits. Lilly ne voulait pas entraver la rentabilité de ce médicament. Conscient des effets indésirables, il les a délibérément occultés. Pourtant, obésité, diabète et d’autres troubles métaboliques et endocriniens, de même que des troubles neuropsychologiques sévères et d’autres effets indésirables graves étaient communs et bien documentés. L’on peut lire le RCP états-unien (résumé des caractéristiques du produit ou monographie officielle) reproduit sur cette page pour voir la très longue liste d’effets indésirables. Parmi les plus courants figurent:

  • Prise de poids / obésité / Appétit incontrôlable
  • Syndrome métabolique
  • Somnolence extrême
  • Évanouissement et étourdissements
  • Dyskinésie tardive/ mouvement musculaire incontrôlable
  • Augmentation de la prolactine
  • Troubles digestifs tels que maux d’estomac, constipation
  • Troubles urinaires, faible contrôle de la vessie
  • Douleurs et symptômes de type neuropathique tels que picotements, engourdissements, douleurs dans les bras et les jambes
  • Bouche sèche ou bave
  • Problèmes de mémoire et d’élocution

Si jamais un médecin insistait pour connaître le revers de la médaille, Shahram Ahari devait dire que les effets indésirables pouvaient être limités par… un grand verre d’eau avant, pendant ou après la prise du Zyprexa… Et noyer le poisson en disant que le Zyprexa n’avait que tel pourcentage d’effets indésirables par rapport à tel autre antipsychotique, que c’était le meilleur de la catégorie, bien testé, défendu par tels pontes, etc.

Un autre argument de Lilly à opposer aux médecins curieux était du genre : « voulez-vous avoir un patient mince mais psychotique ou préférez-vous qu’il soit certes gros mais stabilisé ? »

La stratégie globale consiste à occulter délibérément les effets indésirables pour des raisons de profit. Soit la relation de causalité entre le médicament et l’effet indésirable n’est pas démontrée et la firme n’est pas inquiétée, soit elle l’est, mais après avoir vendu le plus possible… Auquel cas les amendes ou les éventuels dommages et intérêts ne sont pas grand-chose par rapport aux profits. Cynisme absolu du laboratoire pharmaceutique Eli Lilly.

La connaissance des effets indésirables est telle que ce visiteur médical dit qu’il n’a aucun mal à reconnaître dans la rue des patients psychotiques traités par Zyprexa. Il s’agit surtout de personnes souffrant de schizophrénie mais Quant aux études médicales et aux fameuses statistiques censées fonder scientifiquement la publicité des firmes, selon Shahram Ahari,

« elles sont comme les prisonniers. Il suffit de les torturer assez longtemps pour leur faire dire tout ce qu’on veut qu’elles disent ».

Tout cela rejoint les critiques formulées par McCormick et Skrabanek dans le livre Idées folles, idées fausses en médecine à l’encontre de tout ce qui obscurcit le regard : argument d’autorité, sophismes en série, raisonnements circulaires, biais, erreurs de logique et autres outils de manipulations, tels les statistiques… On ne répétera jamais assez cette phrase de Benjamin Disraëli, citée dans le livre:

« Il existe trois sortes de mensonges : les mensonges, les sacrés mensonges, et les statistiques ».

Cette vidéo a été faite par l’excellent programme de « désenvoûtement » et d’immunisation aux charmes pharmaceutiques PharmedOUT. Sa directrice, Adriane Fugh-Berman, est d’ailleurs celle qui a épinglé le dernier cas de disease mongering, consistant à ériger le tabagisme en maladie chronique, à traiter indéfiniment par des médicaments du genre Champix, Zyban et/ou d’autres substituts nicotiniques…

Enfin, d’autres anciens visiteurs médicaux dévoilent dans le documentaire Selling Sickness les techniques utilisées pour influencer et manipuler les médecins et pour créer un terrain accueillant en les « intéressant » par des cadeaux, des échantillons gratuits, des repas et/ou des voyages offerts, etc. Voire même par toutes sortes de gadgets, comme en témoigne le blog Drug Rep Toys: la gamme de jouets que les visiteurs médicaux tiennent à la disposition de ces grands enfants innocents que sont les médecins, émerveillés par ce qu’on leur offre et ne pouvant pas résister à la tentation. 

Elena Pasca

18 réflexions au sujet de “Eli Lilly : désinformation délibérée sur les effets indésirables du Zyprexa. Un visiteur médical parle”

  1. Merci beaucoup, Dominique!
    Très intéressant, en effet!
    Quel dommage que les journalistes français n’investiguent pas AVANT que ça en arrive là! C’est un peu facile de reprendre le New York Times qui lui-même n’en parle que lorsqu’il y a des milliers de plaintes…
    Et quand on sait à quel point il est difficile d’obtenir des preuves, de convaincre des médecins de témoigner, de s’opposer à la toute-puissance financière des labos, de persister dans l’action et ne pas simplement vouloir tourner la page, on imagine mieux les dimensions du problème, le nombre de victimes et leur état…
    (Je parle des difficultés aux Etats-Unis, puisqu’en France, la possibilité d’une telle réaction n’existe même pas… Et même aux Etats-Unis, l’industrie pharmaceutique essaie de se mettre à l’abri de toute poursuite, une fois qu’un médicament à été approuvé par l’agence du médicament. J’en ai parlé dans les notes réunies sous la catégorie « Boucliers juridiques pour les firmes ». L’information est passée inaperçue en France, et c’est bien dommage, parce que si cette manoeuvre grossière réussit, si l’industrie pharmaceutique impose la doctrine de la préemption » dans la régulation juridique de leurs activités, les conséquences seront désastreuses.
    Plus moyen d’attaquer en justice, que ce soit par l’Etat ou par des particuliers (séparément ou ensemble). Alors plus non plus de couverture médiatique par le New York Times ou d’autres… Et plus d’articles – même tardifs – dans Libération…
    Parce que nos autorités sanitaires (Afssaps, HAS et autres conseils avec tous leurs experts ou presque payés par l’industrie)… c’est même pas la peine de s’attendre à ce qu’elles fassent leur travail. La plupart du temps, la France répercute – et encore très tard – ce qui vient des Etats-Unis. Les cas où notre mal nommée agence de sécurité sanitaire a retiré du marché des médicaments de sa propre initiative sont quasiment inexistants…
    Alors croisons les doigts pour que cette manoeuvre ne réussisse pas…
    Merci encore pour le lien.
    Cordialement.

    J’aime

  2. avant de devoir connaitre le zyprexa, j´ai senti des l´age de 5-6 ans l´effet de l´haldol. La psychiatrie ne recule devant rien pour aider a cacher la verite sur l´existence de beaucoup de personnes.
    Un vieux medecin allemand m´a fait des injections IM alors que j´etais enceinte de plus de & mois. Tres douloureuses. dans la position debout. Il ne m´a pas precise que c´etait de l´haldol ; je ne l´ai appris que plus tard. Ma fille a aussi eu une injection a la naissance, j´ai du mal a croire que ce fut des vitamines !
    Je sais pertinemment – j´ai un frere qui git en psychiatrie depuis plus de 30 ans –
    que le zyprexa detruit beaucoup comme l´haldol au fil des annees, j´ai 48 ans, est-ce que je dois penser que je ne vais etre que malade jusqu´a la fin des mes jours parce que je dois prendre ces medicaments dangeureux ?

    J’aime

  3. bonjour Laurence,
    Voilà contre quoi lutte Pharmacritique, et sa fondatrice: l’irrespect envers les patients d’une partie du « corps médical », comme ce psychiatre, peu importe son origine, qui ne manifeste pas d’humanité envers vous.
    J’espère que vous avez trouvé un médecin assez humain pour lui faire confiance pour vous aider avec les médicaments nécessaires.
    Pour l’injection à la naissance des bébés, heureusement il s’agit bien de vitamines, comme la vitamine K, nécessaire à la bonne coagulation du sang.
    Les médecins accoucheurs et les pédiatres de maternité n’ont pas les compétences pour des injections de neuroleptiques aux bébés, injections qui augmenteraient le taux de mortalité des nourrissons, la terreur des services maternités. Aucun(e) sage-femme (il y des hommes sage-femme) ni accoucheur ne pourrait tolérer cela… Je peux vraiment vous rassurer pour votre bébé.
    Merci de ce témoignage, Laurence

    J’aime

  4. Bjr,
    Je prends du zyprexa depuis 1998, et beaucoups d effets secondaires dont je souffre aujourd hui ne figuraient pas sur la notice de ce médicament à l’époque. Ce médicament m a été prescrit dans un hopital sans aucunes informations; j ai su depuis qu a l époque que le médecin qui m a prescris ce médicament qui n était en distribution qu a l hopital avait eu des visites des représentants de Lilly France. Ce médicament était en phase de test final en France et le laboratoire était en négociatin avec la CPAM sur le prix de vente de ce traitements en pharmacie.
    Depuis jan 08 le laboratoire Lilly a réactualisé la notice, et les modifications apportés sont effrayantes.
    Depuis cette date et les informations sur cette nouvelle notice prouvant que les graves effets secondaires dont je souffre sont du à ce traitement. (Par ailleurs il en manque encore d’autres).
    Suite à cette modification de cette notice, donc, la dose de Zyprexa ayant été diminué j ai arrêté ce traitement progressivement puis définitivement sur une période de six mois. Une bonne partie des effets secondaires ont disparu progressivement en trois à quatre mois, ce qui à été prouvé médicalement, par contre j ai eu progressivement des hallucinations et j ai fini par sombrer dans des troubles maniaco dépressifs, qui m ont fait perdre beaucoup d argent, maladie dont je n’avais jamais souffert de toute ma vie passé, même avant la prise de ce traitement.
    J ai du etre hospitalisé dans le même hopital et je n avais pas d autres alternatives que de reprendre ce traitement, les médecins ne m ont pas donné d autres alternatives avec un autre traitement moins lourd en effet secondaire. Aujourd’hui je sus devenu dépendant de ce médicament à vie, invalide et handicapé en raison des effets secondaires tres lourds causé sur moi par le Zyprexa, je ne travaille plus qu a temps partiel et j ai perdu en plus d une partie de ma santé physique avec ce traitement et d autres troubles psychique une partie de mes revenus.
    Avec mon avocat nous souhaitons attaquer en justice le laboratoire Lilly pour défaut d information sur les effets secondaires du Zyprexa à long terme à l’époque, soit en 1998, sur les notices de ce médicament, et sur l’accoutumance sur le cerveau de ce traitement qui devient à vie puisqu il est impossible de le substituer à un autre traitement aujourd hui. C’est une vrai drogue à camisole chimique.
    Afin d aider mon avocat et moi même dans la faisabilité de ce procès, avez vous des renseignements complémentaires à me fournir sur des études françaises ou europenne indépendantes de du laboratoire Lilly sur le Zyprexa, je possède déjà les documents américains.
    Je reste ouvert à une action collective en France contre le laboratoire Lilly sur le Zyprexa, si d autres patients souffrent d effets secondaires conséquents avec ce traitement, notamment s’il a été pris avant les années 2000.
    Par ailleurs si un professeur français indépendant de ce laboratoire et ayant des informations, il peut s il le souhaite prendre contact avec moi.
    D avance merci pour vos contributions.
    Fabien

    J’aime

  5. Bjr,
    Pour faire suite à ma contribution sur ce forum, vous pouvez si vous le souhaitez, prendre contact avec moi sur cyniques(at)gmail.com
    Je sais que cette action contre le laboratoire est le pot de terre contre le pot de fer, mais j ai un bon avocat et je profite de cet été pour rassembler tous les éléments possibles sur ce sujet.
    Si vous souhaitez me témoigner votre expérience (médecin ou patient) n’hésitez pas à me contacter par mail.
    Merci,
    Fabien

    J’aime

  6. Lors d’une hospitalisation au CHU de POITIERS le dr psychiatre L. m’ a prescrit du zyprexa j’ai pris 10 Kgs en 1 mois j’ai dû supplier ce psychiatre de changer mon traitement, je souffre de troubles bipolaires, ce psychiatre m’a rit au nez ! j’ai changé de psychiatre et tout va très bien depuis 5 ans stabilisé au dépamide et risperdal. PS : le psychiatre L. a été muté sur Angoulème !!!! doute !!! méfiance !!!! (argent laboratoire + psychiatre intéressé) A FUIR !
    J’ai eu droit au plaquette de régime LILLY avec le traitement !!! Merci Dr psychiatre L.
    [Note de Pharmacritique: Pour des raisons légales, je dois supprimer le nom du médecin. Désolée.]

    J’aime

  7. Les visiteurs médicaux et les laboratoires sont pour moi les responsables de tous ces débordements. Mais ceci reste malheureusement légal. Il n’y a qu’a constater qu’il suffit d’avoir un rendez-vous dans un dispensaire médical et psychologique pour ressortir avec une ordonnance où il vous est prescrit cette famille de médicaments. Pour soi disant un simple confort , un simple confort d’esprit où l’on s’oublie à la lettre de tel ou tel praticien hospitalier (tous plus ou moins protecteur de votre personnalité). Il est à noter que le zyprexa est cher, il est censé mieux soigner, mieux stabiliser, par exemple des séquelles psychotiques ou autres. Que l’haldol et son correcteur, l’artane ( ou un autre correcteur qui serait comme on dit retard) est lui moins cher avec moins d’effets secondaires si ce n’est cette soif jamais apaisé.

    J’aime

  8. Depuis plusieurs années, on m’a prescrit du Zyprexa, 5 mg, aujourd’hui je pèse 107 kg, heureusement vis à vis des effets secondaires, j’essaye de continuer tant bien que mal, une activité physique mais le fait est là, les vertiges, les problèmes de station debout au lever, le laborieux transit intestinal, les acouphènes et plusieurs désagréments dus à ce traitement pourtant faible comme on dit. J’ entreprendrai de lutter contre l’excès en tout et particulièrement contre ceux qui ont l’impudence d’annoncer des fausses fragilités sous couvert d’une hiérarchie médicale et psychiatrique plutôt chancelante. La situation florissante de leur statut INDUIT IMMANQUABLEMENT des contre vérités en matière d’hygiène mentale et de psychologie. Ce sont ces personnes qu’il faut soigner, ce sont ces personnes froides et blasés qui poussent d’honnêtes citoyen à se suicider. Ces acteurs sont infâmes, ils font vivre la vie selon leur propre désordre,tout leur est du, ils se figurent incidemment qu’ils sont obligés d’agir aussi pompeusement, ils imposent un intérêt frelaté à leur charlatanisme. Qu’ils s’estiment heureux d’échapper aux gens vraiment dangereux car en étant si imbues d’eux mêmes, ils attirent la violence, le raz le bol. Je me satisfait objectivement, je n’ai pas besoin qu’on prenne avec tant de force des pseudo-douleurs ayant valeurs intrinsèques de tempéraments défraichis, pour concevoir quelque chose de pire, pour comme ils disent prévenir. Ces libéralités laissés à certains de ces acteurs sont devenus redoutables et redoutés, insatisfaites, agitatrices, c’est devenu un supplice, une infamie. J’ai le souvenir de ces particularités doctrinales et idéologiques et je préfère de loin réfléchir sur les voies que j’emprunte plutôt qu’être lâchement en proie à ces syndromes d’afflictions, d’influence, du toujours possible quand l’inexistence est là, si présente qu’il faudrait être incrédule pour se laisser convaincre de tant de beuveries. Je ne vois rien qui pût assurer, avec ce genre de lascars, ma liberté de penser, d’en être maitre, puisque ces agissements induisent « des troubles de la Personnalité », mais qu’une chose soit bien clair, leur personnalité à eux est loin d’être parfaite quand ces gens prétendent nous donner des leçon de morale; à travers l’évasion vers leur vocabulaire qu’ils étalent avec une certitude affabulatrice. Quand l’inutilité de certaines démarches font qu’il est nécessaire de se plaindre, il est souvent déjà fort tard et c’est un drame qui se joue, un drame qui se crée de toute pièce, qui se dresse de toute sa force d’auto-persuasion, à vif. Il est aisé de vous vaincre quand vous n’opposez plus rien, une fois qu’on vous a inoculer des angoisses que vous n’auriez jamais eu si vous aviez pu presser le pas, des inquiétudes qu’on vous a créé, on vous a manipuler et dans le pire des cas on vous a ignorer.. Un sens vers lequel on vous a dirigé de mille et une manière comme la légende d’Aladin des épreuves qui quand elles sont inutiles ou grossis vous tyrannise, c’est un paradoxe insoutenable, ou pour parler plus juste un tissu de malheur au travers duquel la force de l’imagination finit par trouver du plaisir, de la foutaise, on a biaisé, vous vivez des maux inventés. C’est avant tout contradictoire, mais c’est parfois aussi insensé. Surtout quand vous avez la preuve que votre différence est en votre âme et conscience naturellement à votre avantage, particulièrement en justice où j’ai trainé l’Etat pendant quarante de procédure, à travers plusieurs arrêt en conseil d’état, oui, arêts contradictoire où l’État se se protège. Là où vous ne pouvez prétendre évidemment à un dédommagement puisque vous n’avez rien de conciliable avec une quelconque once de folie, j’ai vu évoquer internement abusif, propos fallacieux, bien sur on pensera que j’avais gagné mais non. L’Etat s’est enquis d’aller chercher dans me petite enfance, dans mon passé, en occultant mes avocats. Le Juge en fin de procès, car l’Etat et l’administration mentait de trop, le Juge pensait encore que si j’avais engagé une telle procédure c’était pour la rendre imputable (ce qu’on dit de vous, c’est cela, alors que l’Etat , ici durant mon armée a le monopole de juger ce qu’il alui même avancé en quelques sortes par ces propres diagnostics, c’est ainsi qu’il est à même de rien contester même si c’est faux mais qu’il nie une quelconque responsabilité. Il est victorieux même votre état n’avait jamais suscité ce qui s’est passé, il rend tout non imputable, irrecevable et bien entendu prend acte de l’inexistence de preuves. J’aurais souhaité que l’État attaqué sur ces deniers soit effrayé de son propre raisonnement, j’aurais aimé avoir affaire à un État non figé, vraiment indigné, qu’il se protège de m’indemniser, c’est son rôle et je peux le comprendre mais qu’il ne se sente ni blessé ni irréel, quand je lui dit que je n’ai jamais été devant lui pour être pensionné, c’est un comble que le Juge évidemment évite de noter dans ses attendus, ma conclusion, c’est que ma démarche jurique est juste, posée, claire, limpide, et les textes delois et l’administration la rende insuffisante parce qu’en plusieurs points on l’a rendu floue, trouble et qu’à ces occasions, il ne fallait pas que l’État agisse, cela abime le bon sens, et détruit. la trajectoire surtout si l’on la compare à de villégiature pareille à un épiphénomène. A travers des diagnostics malheureusement et définitivement, inutiles, c’est à cet égard que je n’ai pu traiter les choses d’égales à égales. Il s’agit de voir que la force que possède l’État pour nous faire supporter des contraintes sanitaires inutiles est devenu officielle dans les textes actuels, l’État n’est pas infaillibles, on trouve plus de tyrannies que de symboles de santé, de paroles vertueuses et paisibles, c’est de vétusté. .D’ailleurs la morale reste très éloigné de notre Justice. C’est une pratique oratoire et scripturale, triste voire mortifiante. Prédicateurs d’hygiène mentale et de psychologie, vous vous vanter de pouvoir défier trop de monde, il devient absolument nécessaire que vous vous arrêtiez de vous déguiser de la sorte parce que votre imprécation met en danger la science elle-même et à travers elle, de fausses allégations qui une fois enclenchés font crescendo de fausses impressions dont vous êtes l’auteur. Je reconnais votre misère et votre faiblesse, hélas mais l’action est en votre pouvoir et à cause de vous, on ne voit plus clairement où vous voulez en venir ou mieux ce qu’il faut être pour vous plaire. On éprouve trop votre vérité, vous êtes disponible sans l’être vraiment, , vous nous détournez aussi d’un chemin déjà difficile que nous emprunterions bien mieux s’il ne vous prenait pas l’envie de nous forcer à ce genre d’épreuve forcloses, d’ailleurs, ce que vous en dites, c’est qu’il pourrait s’agir de.., donc vous n’êtes jamais sur DE RIEN EN TOUT EN CE QUI ME CONCERNE, , et je sort indisposé de vos prétextes, de vos illusion. De plus vous faites appel à un savoir illustre qui quand on y regarde de plus prêt, montre à quel point, l’Etat, la Justice, exagère. Point par point, vous fermer les plaidoiries, vous n’acceptez pas l’exagération dont vous faites preuve, cete exagération est ici extrême, vous la considérez comme banale en fermant la parole, par irrecevabilité, vous avez pourtant eu le monopole de ces surproductions de vocabulaire et de cet arsenal dit thérapeutique. Vous avez pathologique et chronique, puis vous vous prononcer vers l’inexistence . Pour moi, à force interprétations de cette nature, vous forcez le ressentiment à tout jamais, .

    J’aime

  9. A « Mandelkorn »
    Bonjour,
    A la suite de plusieurs articles, vous avez posté plusieurs messages sans aucun rapport et qui semblent être des fragments d’un écrit.
    Vous aviez évoqué il y a plusieurs mois un livre et donné le lien vers un site.
    Ces jours-ci, après des messages plus généraux, vous recommencez à poster des fragments d’un récit, avec beaucoup de détails très personnels.
    Outre la mise en garde habituelle contre la divulgation de tels détails sur internet, je rappelle que Pharmacritique ne fait pas de publicité, quel que soit le produit ou la personne.
    Je ne peux donc pas accepter des messages sans rapport avec les articles, des messages publicitaires, etc.
    Tout commentaire de ce type sera supprimé. Merci de ne pas insister.
    Bon courage!
    Bien à vous,
    Elena

    J’aime

  10. edifiant de lieux communs et de verites toutes faites
    comme dans toutes les professions…..il y a des gens honnetes et d autres moins…
    l
    etant toujours dans l industrie pharma apres qq decennies….je pense « sincerement »
    qu un « mauvais » visiteur medical….fera moins degats qu uin « mauvais » medecin…..
    donc a lire toutes les attaques contre les visiteurs medicaux et les labos …je pense que dans touts les autres secteurs ce sont de gentils bisnounours et cie qui travaillent…
    la grande distribution royaume de la transparence….
    les politiques……tous desinterresses et travaillant au bien etre des francais quasiment benevolement ??
    en fin Mr Servier a permis a la bile d un even ou d un hirsh….de se.deverser souyr les ondes les teles etcetcetc
    ah que ces bons de se savoir proteger par tous ces braves gens……
    l industrie pharma est en france plus mal traitee que l industrie du tabac …cherchez l erreur….
    pauvre france……(enfin ca va encore…… [passage supprimé par Pharmacritique, car contenant des allusions xénophobes]
    ca viendra mais je serai a l etranger…..!)

    J’aime

  11. je suis a la recherche de toute information suceptible de m aider afin d engager des poursuites contre les laboratoires lilly en france en effet j etais visiteuse medicale et ma vie a basculer lorsque l on m a prescrit du zyprexa en 2003.2004
    merci par avance pour tout vos temoignages medecins .patients
    mon mail julieguerry@laposte.net
    mon port 0627030450
    merci

    J’aime

  12. Chers amis,
    Je ne sais pas si vous êtes d’accord, mais je ne vois pas pour ce qui me concerne de critères qui me distinguerait d’une personnalité normale vis à vis d’une pathologique . Cette réflexion fait suite à mon livre « ESSAIS » de moi même disponible en librairie et sur internet. Il s’agit du vécu lors de mon armée et du procès intenté à l’État..
    Le concept de personnalité est une donnée récente.
    Ce serait à propos de la psychologie pathologique que le problème du normal et du pathologique s’avèrerait le plus patent mais la Cour n’en tient pas compte.
    Je ne pense pas non plus que la notion de personnalité pathologique viendrait combler un vide qui me concernerait : névroses et psychoses…. D’une manière nuancée les personnalités pathologiques se distinguent surtout non pas par des symptômes (névrotique ou psychotique) mais par des troubles de caractère, de conduite et de comportement. Ces troubles émergeant notamment lorsque le sujet est mis dans une situation de frustration ou de conflit (…). Cela ne me concerne guère.
    Dans toute personnalité, les psychiatres déterminent ce qui relève d’une structure de base stable et définitive ou d’un simple aménagement encore mobile et malléable ; ils arrivent ainsi à définir les notions de normalité, d’immaturité affective et de maladie, de façon beaucoup plus féconde. J’ai passé en revue les différents modèles de structuration de la personnalité, tant d’un point de vue psychologique ainsi que sous l’angle de l’évolution, mais toujours en me référant à la théorie. Le caractère est défini, à partir de chaque structure de base de la personnalité, comme l’expression relationnelle et psychologique de cette structure : celle-ci demeure en état de «normalité», c’est-à-dire d’adaptation aux réalités internes et externes (ce qui ne veut pas dire seulement soumission). Les symptômes sont vus au contraire comme les manifestations relationnelles émanant d’une structure de base en état de décompensation. Autrement dit, la structure de base spécifique qu’on m’a attribué, par exemple, peut en état «normal» donner naissance à un caractère tout autant spécifique En état de décompensation, par exemple ceci concernerait des symptômes particuliers (signes d’une maladie). La pathologie caractérielle est traitée de façon séparée et originale : Tous les praticiens distinguent les «névroses» de caractère, les «psychoses» de caractère et les «perversités» de caractère. Il est à noter pour ce qui concerne mon dossier qu’il n’y aura aucune nouvelle conception de la notion de «maladie» qui sera proposée. Je parle de la synthèse des recherches qui ont valu aux hypothèses qui ont été évoqué et qui ont eu peu d’échos et échanges. Je me fonde sur l’idée qu’il n’y a pas eu non plus d’états limites, à la dépression, à la toxicomanie ou à la notion de violence fondamentale, rien ne me concerne donc. Une trace dans l’histoire de ma procédure : L’approche en terme de structure a finalement mis le caractère « psys » dans l’oubli. C’est pourquoi, je ne m’étends pas
    Concernant la psychose, on a évoqué durant mon temps d’armée une bouffé délirante, qui est une psychose aiguë et non chronique. L’étude clinique qui est longue indique un délire qui serait apparu de façon soudaine, d’emblée constitué. Les hallucinations et les troubles du comportement auraient été là dès le début.
    De plus, c’est un délire ayant pour thèmes la persécution, la grandeur, la toute-puissance psychotique, la filiation mégalo-maniaque, la dépersonnalisation, une transformation somatique… etc. Le mécanisme est à base d’hallucination auditive, ou psychosensorielle… avec automatisme mental. Le sujet aura tendance à interpréter. J’ai été mis sous traitement neuroleptique, la bouffée délirante aurait évolué généralement très rapidement pour se stopper en quelques jours, bien que parfois plusieurs mois soient normalement nécessaires pour en sortir complètement. L’évolution aurait pu se faire sous la forme de nouvelles bouffées délirantes aiguës par la suite. Cela aurait aussi pu aller vers une chronicité, vers la schizophrénie. En cas de systématisation du thème, ou de grande durée de la crise les praticiens disent toujours craindre une entrée dans la schizophrénie. Il me semble normal de souligner que quand on est hospitalisé de façon abusive on verse encore plus vers la culpabilité, sans avoir eu de prédominance dépressive, on se sent indigné, on devient mélancolique. On devient désorienté, il y a un passage de non-reconnaissance de l’entourage. J’ai remarqué aussi une perplexité anxieuse : ces confusions ont eu à mon sens des origines médicamenteuses. A l’épreuve du traitement, on est obligatoirement prostré et hébété. Après l’armée j’ai eu un traitement au long cours à visée anxiolytique et sédative (Haldol ). Et comme je le vous l’ai déjà dit, j’ai à des fins strictement informatives, demandé l’avis de mon médecin ainsi qu’à d’autres professionnels qualifiés pour cette question L’information qui m’est apparu à travers le diagnostic ou le traitement médical d’autres professionnels tendait surtout à me faire oublier cette triste expérience.
    La question de l’existence d’un lien entre un traumatisme et le déclenchement d’une psychose chronique a été vu par un expert, son rapport m’a paru particulièrement complexe, controversé et peu connu. Il a étudié rétrospectivement mon cas à partir du dossier médical et juridique et a confirmé les taux existants. Le fait de n’avoir jamais présenté aucun antécédent psychiatrique durant ma petite enfance peut constituer la preuve que les dites séquelles d’épisodes psychotiques aiguës n’existaient pas. On ne pouvait se référer à un état antérieur au sens documentaire de ce qui m’avait été indiqué dès l’hospitalisation. C’est bien la mise à part qui a été vécu comme une véritable fracture de vie, séparant l’avant de l’après.
    Mon état ne m’a jamais empêché de travailler, je suis actuellement fonctionnaire depuis de nombreuse année, j’ai toujours eu de vrais salaires. J’ai lu dans des sites que la dépression chronique est reconnue comme maladie et que les personnes atteintes par cette maladie peuvent bénéficier d’une pension d’invalidité. De basculer mon état vers une pension ne serai pas plus avantageux car je sais pertinemment que je peux travailler, j’ai participé à des réunions d’école lorsque j’ai travaillé avant dans l’animation et le sport (environ 13 ans), je ne me sens pas mal, je ne fais pas de crises de panique.
    Je suis pourtant reconnu comme travailleur handicapé mais cela ne change rien.
    De plus en plus de gens s’accordent à dire que la psychiatrie publique va mal, bien que l’on voit de plus en plus de « psys » à la télévision, pour expliquer, justifier, voire cautionner, tel ou tel aspect de l’actualité…
    Il aurait été plus intéressant de se confronter aux anciens savoirs pour les inscrire dans une continuité qui assume l’histoire contradictoire de la psychiatrie plutôt que de se livrer à une véritable œuvre révisionniste, négationniste même, d’invalidation de la transmission des connaissances venues d’un passé encore si proche.
    . Dans ces conditions, il faut insister sur l’aspect totalitaire de telles transformations lorsqu’en l’absence de toute critique non censurée, on assiste à la destruction du lien de filiation historique de la psychiatrie institutionnelle. Une destruction qui s’en prend avant tout, aux outils fondés sur l’affiliation sociale, et sur les thérapies de l’altérité.
    L’indépendance professionnelle n’est pas de mise, les professionnels de santé militaire ont largement dépendu pour leurs conditions d’exercice des autorités locales, y compris médicales, ils devaient se plier aux exigences et priorités des différentes politiques sanitaires de l’armée même au dépend des besoins réels des populations. Se plier tout en mettant en jeu, devant les tribunaux, leur responsabilité professionnelle que les pouvoirs locaux n’assumeront pas. Quelles ont été dans ce cadre les priorités sanitaires et les moyens alloués à ces priorités?
    Que la psychiatrie publique veuille répondre à toutes les demandes pourquoi pas, mais elle doit donner ses réponses dans les limites de ses capacités réelles. Dans un contexte de pénurie des moyens, le risque est de faire des choix au dépend des plus démunis: les gens fragiles, ceux et celles pour qui les soins sont indispensables à une existence harmonieuse, mais qui n’ont jamais la parole. Il faut donc une certaine volonté de la part des équipes soignantes pour refuser d’abandonner la prise en charge prioritaire des patients les plus lourds, même si cette priorité relègue sur les listes d’attente, en dehors des situations urgentes, les patients non handicapés..
    D’autre part, il faut résister à la tentation d’accepter que la psychiatrie soit missionnée au-delà du soin, vers une participation au contrôle social, à la « normalisation » des comportements. Ainsi, la juste colère, la revendication individuelle face à des injustices patentes peut dans notre société être interprétée comme des symptômes rendant nécessaire des internements ou d’autres mesures d’ordre médico-sociales.. Il faut donc être très vigilant, aujourd’hui, dans l’observation de la frontière redevenue floue entre ce qui relève du « normal » et du pathologique.
    La modification des présentations cliniques, compte tenu des facultés d’adaptations apparentes, ne doit pas nous faire rater la prise en charge d’une personne en grande souffrance narcissique, mais ne doit pas faire psychiatriser abusivement une autre personne sur la base de critères de normalisation sociale.
    Ainsi, le risque d’internement abusif est de retour. Mais dans quelle mesure ?
    C’est un constat, le nombre d’internements, par rapport aux hospitalisations libres, est en hausse. Ces internements sont-ils tous abusifs au moment où ils ont lieu ? Force est de constater que l’augmentation de la demande de soin et l’incapacité d’y répondre, par diminution des moyens de soin dans des délais décents, amène nombre de personnes pour lesquelles les hospitalisations auraient pu être évitées, ou être obtenues avec leurs consentements, sur leurs demandes, à se retrouver dans un état suffisamment aggravé pour qu’ils ne soient plus en mesure de décider quoique ce soit.
    Ces internements sont abusifs dans le sens où ce serait la non intervention à temps qui aurait précipité l’internement. L’idée serait que plus un patient est vu tardivement, plus un drame irrémédiable aura pu se produire. C’était la position de l’hôpital psychiatrique des Armées de DIJON. Le major parlait d’un risque psychotique, un autre d’un état qui ne datait pas hier, faisant référence à ma petite enfance où siègeraient des séquelles d’épisodes psychotiques aiguës ce qui s’est révélé inexact, j’ai lu ensuite « autorité mal marquée ou trop forte de mon père, mère envahissante ».. Alors que c’est bien à mes parents, que j’avais appelé au téléphone et qui m’ont rejoins sur place, qu’on confia le soin de me faire suivre une fois libéré des obligations militaires.
    C’est surtout moi, qui ait marqué une tolérance limitée vis à vis de certains « écarts de conduites», c’est bien moi sur ce que j’ai vécu à l’armée, qui n’a jamais bu d’alcool ; je ne pense pas que le recours à l’internement, celui qui a été utilisé, et, en prime, le refus de la part de cette institution de stabiliser ce que j’ai vécu sur place fut normal.
    J’ai été éconduit et j’estime que mon cas n’était en aucun cas du ressort d’une solution hospitalière. Les médecins et les équipes ont donc, contre leur avis professionnel, été contraint par une autorité supérieure de garder hospitalisées des personnes qui ne relèvent pas de soins en service psychiatrique. Lorsqu’il s’agit de gens agressifs d’un point de vue non psychiatrique, il arrive qu’ils se comportent comme de vrais prédateurs vis à vis des patients hospitalisés les plus fragiles. Tout cela accroît la tension dans les services et n’arrange en rien la qualité des soins. Si cette tendance observée était en augmentation, c’est l’indépendance professionnelle des médecins qui serait remise en question et l’on voit, dés lors, que la psychiatrie serait utilisés au dépend de ceux et celles qui en ont vraiment besoin, comme auxiliaire du maintien de l’ordre, comme outil du contrôle social.
    Il y à craindre que la décentralisation évoquée plus haut soit le creuset de tels abus qui signerait la mort de la psychiatrie. Des associations de citoyens, voire d’anciens « patients malgré eux », militent à juste titre contre les internements abusifs, mais certains considèrent que tout internement est abusif.
    Le problème, est qu’en rendant impossible toute hospitalisation sans consentement, on risque de se situer dans des situations de non-assistance à personnes en danger dont l’issue pourrait s’avérer dramatique et irrémédiablement fatale. Ce qui serait dommage, puisque, selon les situations, quelques jours à quelques semaines, voire quelques mois, avec suivi, peuvent permettre à des gens très malades à un moment donné de se remettre sanitairement complètement, alors que l’absence de soin risque de leur être fatal, voir de retentir sur les autres. Le seul point de départ possible de l’amélioration aura été hospitalisation prise sans un consentement impossible à donner à ce moment là. Il y a donc aussi dans le refus de toute pratique d’hospitalisation sans consentement, un vrai mépris des situations de ces personnes qui ont besoin de soins urgents et qui ne peuvent à ce moment donner leur avis du fait même de leur pathologie. Est-ce cela la liberté ?
    Évidement, nous le savons, selon les qualités différentes des prises en charge et d’accueil selon les services, certaines personnes auront eu, à juste titre, une impression fort négative de l’accueil et de la dignité. Le risque étant alors d’extrapoler et de s’imaginer que c’est le cas de tous les services, sur tous les secteurs, ce qui est loin d’être vrai. L’étude de cette question mérite donc de tenir compte de la disparité des secteurs d’un point de vue institutionnelle. De ce côté, je ne peux me plaindre si ce n’est vis à vis de ces errements sanitaires car il faut bien appeler les choses par leurs noms.
    En cas de violences ou d’agressivité, ce que je relate à l’active, il faut tout de même prendre conscience que lorsqu’un patient schizophrène est agressif, c’est qu’il est dans une situation vécue par lui comme défensive face à un monde où sa perception amplifie les réactions les plus anodines des autres, car c’est ce qu’il ressent. Les autres le voient comme agressif, alors qu’il se défend. Cette agressivité là est le symptôme d’une fragilisation intérieure intense qui est dangereuse mais très accessible aux soins. Sans avoir à prendre de mesures nouvelles ou plus intenses, la psychiatrie de l’armée est depuis longtemps capable, à condition que ses moyens n’aient pas été bradés, de soigner et d’aider ce patient à se sentir rassuré, et donc de ne plus avoir à se défendre d’une façon agressive et inadaptée. Ceux qui ont eu une telle attitude n’ont pourtant pas, à ma connaissance, été soigné.
    Cependant, la Cour malgré la gravité du sujet, ne donne lieu à aucune couverture à la hauteur du problème. Comme lorsqu’il s’agit d’étouffer un cri ! Ce n’est donc pas un sujet intéressant, lorsque le problème institutionnel est posé en terme de volonté politique manquante voire d’inconscient politique…
    Une telle accumulation d’erreurs et de non-sens est suspecte et ne peut s’expliquer seulement par la complexité de l’organisation administrative, il y a une volonté fort bien agie de tourner ce qu’il reste vers une soumission à des missions ordonnées qui ne sont pas les siennes.
    Les pouvoirs dominants veulent faire rentrer la psychiatrie dans le dispositif du contrôle social et de la répression et non plus dans celui de sa capacité soignante. Les tutelles inattaquables au service de L’État et des intérêts invisibles, ont le pouvoir en ce domaine. Le pouvoir de supprimer, de bloquer, de compliquer, mais aucune responsabilité – légale – en ce qui concerne les conséquences.
    Les responsabilités juridiques seront portées par des soignants dépossédés de tout pouvoir. Il semble difficiles dés lors de cogérer le système sans que la situation ne s’aggrave encore plus et sans que cette fois à juste titre les soignants cogestionnaires n’en portent la co-responsabilité.
    Si nous voulons rester dans une perspective de soins, une rupture est inévitable sinon souhaitable. Rupture au cœur de l’appareil de cogestion paritaire qui réunit ceux qui exécutent le pouvoir sans porter aucune responsabilité (et là est leur vraie culpabilité) et ceux qui portent toutes les responsabilités sans aucun autre pouvoir que de cogérer un système qui les engloutit d’années en années!
    Il est donc important que les professionnels de santé sachent se retrouver collectivement afin d’élaborer autour des limites du possible de leurs interventions sanitaires, à la lumière des évolutions cliniques contemporaines. Ce qui est du ressort des soins et qui ne l’est pas, ce qui rend les soins nécessaires et indispensables.
    Je me suis vu avec tant de perte en matière de moyens, véritable gaspillage des acquis du passé. Et c’est pour cela aujourd’hui que tout semble échapper à la Cour sans que je parvienne à opposer un discours. Il s’est s’agit pour moi de lieux d’exclusion dans l’enfermement.
    Évidement la souffrance psychique, celle qui est non soignée peut faire apparaître des désordres graves sur la voie publique, et parfois médiatiquement spectaculaires, mais suffisamment minoritaires du point de vue statistique pour justifier la nécessité d’un investissement public à la hauteur. Sans doute le prix sacrificiel que le système préfère faire payer aux autres, car moins coûteux du point de vue de la logique marchande actuelle, même s’il y a des victimes innocentes et étrangères au processus morbide d’un individu en souffrance exclu lui-même de la possibilité des soins.
    « L’espace « libre » devient un enfer, un espace d’exclusion et d’anéantissement dont on ne peut s’échapper qu’à condition de retrouver les attributs minimaux permettant d’y circuler.
    En gros la Cour énonce « qu’aucun manquement ne peut être imputé à l’État français, auquel il appartenait uniquement de s’assurer de la non recevabilité à plusieurs titres de mon appel
    Peut-on formuler ma requête comme un éventuel recours pour aggravation, non pas, il me semble, il faut se trouver dans ce genre de cas pour aller dans ce sens : Ce serait plutôt être en mesure de prouver que l’auteur de l’acte attaqué reste l’Etat, pour le concept de m’avoir dirigé grossièrement vers la psychiatrie, en tout cas en congé de convalescence, sans que le besoin le suscite vers un service, puis un autre sans trop savoir, en démarrant ensuite un dévolu familial, après m’avoir garder sous les drapeaux cinq mois supplémentaires. L’armée avait-elle le pouvoir de prendre seule cette décision, il ne s’agit pas d’incompétence mais plutôt, d’une attribution de soins que je n’attendais vraiment pas, je suis à l’heure actuelle bien face à des informations qui s’avèrent déboucher sur l’inexistence de réelles afflictions, c’est en gros ce qui s’est révélé post-dates dans un cadre hospitalier civil où par sécurité je me suis dirigé.
    Montrer qu’une irrégularité a été commise lors du processus de décision, à savoir ne pas tenir compte des propos fallacieux de mon adjudant (déjà plaidé), les remontrances de quelques petits grades (brigadiers) (déjà plaidé), une pression trop forte (déjà signalé par un neurologue). Il doit s’agir d’une très forte influence de la part militaire pour résister à tout ça, un tout qui ne trouve pas son pendant dans le civil, c’est-à-dire qu’on me prive d’administrer la preuve parce que l’on parle de convalescence. Ceci a eu pour effet de modifier considérablement le sens de ma trajectoire vis à vis de la décision prise (épiphénomènes), un choc, un obstacle, un renoncement. Tel est le cas, par exemple, si l’Administration a omis de consulter pour avis telle ou telle hiérarchie alors que la loi l’y contraint. Exposer que l’autorité administrative a usé de ses pouvoirs dans un autre but que celui pour lequel ils lui ont été conférés semble impossible. Encore qu’elle ne sanctionne pas les violations du droit du patient puisque le côté sanitaire se dit compétent, et qui ne remet pas en cause le détournement d’un pouvoir qui s’est avéré abusif dès la caserne.. Cette pratique méconnaît, par exemple, ce qui est normalement et à juste titre pratiqué de façon professionnelle par des psychiatres conscients des troubles évoqués) : (je dormais normalement et j’ai été mis sous somnifères, un psychiatre qui avait participé à l’élaboration de ce genre d’anxiolytiques a dit à mon père, que je n’en avais absolument pas besoin, le premier psychiatre civil que j’ai contacté a porté plainte en mon nom. Il ne faut pas oublier que j’étais en pleine étude, que ces années m’engageaient pour la vie. Depuis, l’administration a usé de ses pouvoirs pour voir si je pouvais bénéficier d’une pension. D’une part, mon handicap me semble aussi faible que faux, d’autres part, la Cour rejette comme manifestement mal fondées mes requêtes. Dans toutes les autres situations, on ne peut pas solliciter sa décision comme litigieuse mais simplement demander au tribunal de modifier son contenu. La décision de non-recevabilité a été motivée, de toute façon je ne vois pas comment elle pouvait être motiver autrement puisque j’ai indiqué dans mon appel que j’étais bien conscient de mon retard ! De toutes façons, le juge n’a jamais estimé que l’action subite relevait d’une quelconque bévue de la responsabilité de la caserne ou de l’hôpital, ou encore de l’Armée.…). Pourtant contrairement à ce qui a été écrit à titre documentaire, il n’y a pas d’antécédents.
    Cette demande présentée sous forme de requête par le défendeur qu’est l’État et visant le rejet de l’action intentée contre lui. Par exemple, l’État/défendeur soutient que l’action du demandeur (moi-même) est irrecevable parce que, même si les faits que j’allègue sont vrais, le demandeur (moi-même) a trop tardé à intenter son action et ses droits se sont éteints. Ce moyen réussit, l’action est rejetée par le tribunal : c’est donc la fin du litige. Je n’ai eu à travers ces retards qu’un long silence de la part de l’Administration

    J’aime

  13. Au vu de la situation familiale, je n’avais pas d’autre choix que de contester les traitements médicamentaux, mon père continuait l’estimation et les commentaires de la fin de ma période sanitaire, ou pour la première fois on me donna des neuroleptiques et des somnifères, bien que je supporte chaleureusement mes parents, je donnai des preuves de l’inutilité, affirmait que je dormais sans peine, pris parti pour un professeur qui avait indiqué ne voire aucune nécesité à poursuivre mon traitement en famille
    Mon père s’était mouillé, il voulait que je sois pensionné, je n’avais pas d’autre choix.que de l’écouter à ce sujet
    D’évoquer le bloquage du à ma période sanitaire , ce charlatanisme et la médecine de masse
    […]
    On porta plainte en mon nom devant le Tribunal d’instance, le premier psychiatre siégea à huit clos, je fus débouté, fit appel devant le Tribunal de grande instance qui décalla le compte rendu, je n’eu aucun attendu
    Donc je n’ai pas d’autre choix que de dire que je comptais vivre et métablir en Israel, en substance en un kibboutz, avant de me décider à vraiment émigrer, puis je revins en France pour enterrer mon oncle, le frère de ma mère qui m’avait réclamé
    Ce serait une erreur de ma part de relancer le débat contradictoire avec un jury interministérielle qui a cru bon de relancer ma plainte, cette affaire fut durant longtemps, l’objet de nouveaux appels
    […]
    Je suis heureux d’utiliser mes points pour cela parce que de toute manière, je n’ai pas d’autre choix.
    Au vu des éléments de preuve devant moi, je n’ai pas d’autre choix que de conclure que
    ce qui fut réclamer et plaidé tourna autour de l’abus de ces personnes durant l’armée et même sur mes parents, pour lesquels on évoqua un délit de relation, délit réputé sensitif, pour insistance, et autorité mal imprégné à mon égard, j’ai reçu plusieurs demandes parentales, force hospitalisations post-duré militaire
    […]
    malgré tout mon respect pour le travail réalisé par les praticiens hospitaliers je n’ai pas d’autre choix que de dire que cette proposition de perspectives financières est impossible, le greffe use d’un arsenal ministériel, il n’a pas d’argent pour ce type de plainte, quant à l’affaire la Cour rend tout non imputable, irrecevable et très en deça d’un minimum indemnisable
    […]
    Évidemment, vu les deuils qui suivire je n’ai pas d’autre choix que de rester en France
    Je n’ai pas d’autre choix que de vous dire que je ne peux pas pour l’instant
    continuer ma plainte, j’en avais encore la possibilité , maisde telles réserves me mettent mal à l’aise
    […]
    Le plus souvent la personne répondra: «Je veux un traitement, et si je n’ai pas d’autres choix, j’utiliserai le chantage, car je veux « mon confort d’esprit »
    À cause de cette contribution,, nous sommes plein à pouvoir se passer de ces médicaments de confort dont le sujet n’était pas celui que l’on a annoncé avant, je n’ai pas d’autre choix que de donner la parole à tous ceux qui ont demandéde s’exprimer sur ce sujet.en psy je n’ai pas d’autre choix que de passer
    au point suivant , le travail, les loisirs, la vie
    Je n’ai pas d’autre choix que d’appuyer la procédure, car il y a des différences considérables entre les traductions.QUI PEUVENT EN ËTRE FAITES SUR LE MODE THEORIQUE ET LA PRATIQUE
    […]
    du Règlement MILITAIRE ET SANITAIRE je n’ai pas d’autre choix que de ne plus parrainer
    le projet de résolution qui les occupe sur le plan sanitaire, et sur la totalité durée légale accompli en temps de paix
    […]
    Cependant, malheureusement, je n’ai pas d’autre choix que de parler avec franchise
    et je le fais avec calme et objectivité,
    […]
    Je n’avais pas d’autre choix que de créer
    quelques éléments de décors spécialement conçus pour un épiphénomène de ma trajectoire de vie.
    Je n’ai pas d’autre choix, nous aurions bien besoin de deux fois plus de temps de parole pour répondre comme il se doit aux excellentes interventions des orateurs qui se sont exprimés jusqu’ici, et c’est pourquoi je n’ai pas d’autre choix que celui de la concision.
    t
    […]
    , mais je peux abandonner
    complètement ni l’un ni l’autre, alors je n’ai pas d’autre choix que de travailler dur le sujet à part.
    Mais je n’avais pas d’autre choix ; je vivais là parce que je n’avais pas d’autre endroit
    où aller., c’était la vie de caserne avec ceux qui avaient un problème avec l’alcool, voir la petite violence
    Je n’ai pas d’autre choix
    Je n’ai donc pas d’autre choix, pas plus que les officiers supérurs ,parti d’ailleurs, que de voter contre le projet de loi.qui fait de plusieurs générations surgir ce genre d’obstacles
    www2.parl.gc.canationaux
    un milieu où je n’avais pas vraiment d’autre choix que de ne rien comprendre ni apprendre
    et je n’ai pas eu d’autres choix que d’élargir le débat
    pour éviter de m’y soustraire
    Je n’avais pas vraiment d’autre choix, car ma mère et mon père ne pouvaient plus s’occuper de moi.
    Selon les faits pertinents resteront clairs à
    cette cause, je dois conclure que l’Administration n’avait pas d’autre choix que de refuser
    la réclamation.
    Je suis personnellement convaincu que la Commission ministérielle n’aura pas d’autre choix que d’ouvrir une procédure d’infraction à son niveau et en interne sans m’informer
    […]
    […]
    que je reste une personne ayant aucune
    déficience en rapport, et c’est moi qui ai fait des choix et non pas quelqu’un d’autre qui pourrait
    avoir cru faire la bonne chose.à ma place
    Je voudrais donner une autre réponse, mais je n’ai pas le choix.

    J’aime

  14. Je venais de quitter ma caserne pour consulter dans un infirmerie assez proche (sur place, au réveil de ma première nuit, une personne me dit quelque chose. .du genre ; avez vous bien dormi, je répondis avec humour avoir rêver à mon signe astrologique : le scorpion et je l’ai écrasé durant la nui, on me répondit : ce que vous avez écrasé, ne peut être un scorpion, plutôt une araignée, puis comme je tournais la tête vers la télé allumé, on me dit : que voyez vous, toujours avec humour je répondis qu »il y avait trois télé, une à la caserne, une ici, et une chez moi.)
    « information sécurité patients »
    on me transféra vers l’hôpital psychiatrique des armées à Dijon où j’eus une cure de sommeil sous piqûre, transmis sous l’autorité d’un major, j’appelai mes parents, ils me rejoignent rapidement et demandent de parler au major qui évoquait une prévention psychiatrique, nouvelle contre-indication et rappel concernant l’importance de surveiller la fonction hospitalière dans son ensemble, mon père demanda qu’on me rapproche du domicile familial, je fus transféré à l’hôpital Percy de Clamart et travaillai cinq mois pour la croix rouge
    Plus tard je fus libéré, mes parents vont me montrer rapidement à un psychiatre qui engagera une poursuite judiciaire en mon nom
    On y apprend que l’antidépresseur a provoqué des effets secondaires, qu’on ne peut arrêter le médicament comme ça, le traitement va nécessiter, dans la durée, d’arrêter très progressivement, ce qui nécessite un élargissement des consultations, envisager les contre-indications et les précautions d’emploi, précautions qui n’ont manifestement pas été suivies par un certain nombre de prescripteurs, notamment j’aurais pu me passer d’un tel début de traitement.
    Il est relativement courant de recevoir ce type d’informations trop tard concernant des médicaments anciens, pour lesquels on découvre, au gré d’une longue période d’utilisation, des risques qui n’étaient pas prévisibles lors de la mise sur le marché.
    C’est beaucoup plus rare concernant un médicament qui n’a été commercialisé qu’après et qu’on me donna ensuite, il faisait effet, j’étais dans un état cotonneux.
    La commercialisation a été accompagnée de l’information réglementaire au sujet des risques d’accoutumance, qui étaient connus dès le départ. Cette commercialisation a surpris plus d’un acteur du domaine de la santé, notamment un professeur à l’origine de la fabrication de ce neuroleptique et qui disait que je n’en avait pas du tout le besoin. Il a critiqué un rapport bénéfice-risque peu favorable, à mon état qu’il jugeait satisfaisant faisant déjà état d’une « efficacité modeste » dans la prise en charge de l’épisode dépressif majeur auquel il ne croyait pas. Il évoquait un grand besoin de l’Amélioration du Service Médical Rendu mineure par lui-même – … mais aussi d’une « bonne tolérance » , on ne place pas sous surveillance sans raison.
    Pour ma part je me suis défié d’emblée des médicaments, mais mes parents ont tellement insisté , comme l’indique la lecture attentive d’une biographie demandé par l’Etat au procès.
    Ces médicaments sont accessible à tout médecin dans le Vidal), certes à doses très élevées, mais sachant que les antidépresseurs sont fréquemment consommés sur des durées (trop) longues…en quantité moyenne
    D’un point de vue pragmatique, on peut s’interroger sur l’intérêt de prescrire un médicament qui impose au patient une telle contrainte (prises de sang régulier) en échange d’avantages espérés si minces et alors qu’il existe de nombreuses alternatives moins risquées.
    Mais la prescription n’est pas un acte purement rationnel, elle répond aussi à des motivations plus abstraites : effets de mode, attrait de la nouveauté (!), Sensibilité aux avis émis par des sources plus ou moins crédibles… Il conviendra donc aussi de s’interroger sur la caution massive et quasi unanime apportée à ce produit, au fil de congrès et de publications sponsorisées, par des « leaders d’opinion » universitaires qui ont en charge de véhiculer, en théorie, l’état actuel de la science en psychiatrie.
    Ce soutien appuyé, enthousiaste, intellectuellement séduisant, insistant sur les avantages et minimisant les risques, a-t-il conduit des prescripteurs à manquer de prudence ? Aujourd’hui ma personnalité en est morte

    J’aime

  15. Je prends du XYPREXA 5 mg (problèmes)
    EDOUET que je croisais tout petit était tombé d’un échafaudage à la Porte de VANVES, à cette époque nous utilisions le gymnase tout proche , nous avions des matches contre la ville de Paris, en hand ball. Nous faisions tellee trajet de Montrouge, passions par notre centre des sports laïques où nous partions lorsque nous étions complets. IL nous voyait donc en groupe, un matin dans l’allée de ma résidence, il me fixa, j’étais content mais son regard ne trompais il avait été durement touché à la face et au crane. Quelques jours plus tard, il était devant le pavillon 10, j’habitais au pavillon 12, Jean Mathieu ALFONSI du 11, sortit avec la balle de volley et nous jouions avec d’autres enfants de la résidence. Nous lui dimes « voulez vous jouer », il parti tristement, se retourna « je vis Estelle et Éliane COHEN » sortir du jeu de ballon et aller à sa rencontre  » voulez vous un bonbon ». C’est Estelle vous ». En effet, nous n’avons pas fait les présentations et elle nous dit « Ramener vous », Nous nous présentâmes tous et toute d’un seul coup d’un seul, le doit sur la couture de nos vêtements.
    Pensifs les lecteurs.diraient. Bête comme choux!
    Quatre jours après mon arrivée à l’armée, et après plus de 30 ans de procédure face à l’État, (l’armée ), Un lieutenant colonel M. MOUGIN signala des troubles du comportement, j’étais entrain d’être exempté de corvées par lui alors que M BEDOUET était dans la caserne a me demander de l’aider à ramasser des feuilles. Le Lieutenant balbutiat
    « il peut être dangereux »,
    Puis je pris mon paquetage et rejoins mon dortoir avant peu, je refusa l’école d’officier de réserve et le peleton de slous officier, dégouté mais content d’espérer pouvoir continuer une partie de mes études au CNAM de Montluçon, ville de garnison où le centre d’instruction des services des armées étaient cantonné (caserne RICHEMOND)
    Quelques jours après, une banale fracture du coude en plein match de foot, me priva de mes classes, je fus rapatrié sanitaire sur l’hôpital Percy de Clamart, et pu revivre à mon domicile.Après une rééducation, je retrouvais l’amplitude du coude, (cupule radiale) et fut contraint à une longue période de convalescence en famille. En me promenant sur Montrouge, j’allas sur un externat de petits, et me fit valoir en bénévole pour aider les instituteurs spécialisés, la directrice était psychanalyste. Nous sommes allé à la petite piscine de l’école, porte de VANVES, école supérieure d’éducation physique baigné les handicapés mentaux § physiques.

    J’aime

Laisser un commentaire